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  • 030 T n° 34 SMN Schneider

    l’usine de la Société métallurgique de Normandie (SMN) à Mondeville (Calvados) utilisait des locomotives Schneider, telle la 030 T n° 34. Appartenant au type 119, construite au Creusot en 1921, elle est ici dominée par les cowpers des hauts fourneaux et à droite par les cheminées des fours Martins. (© RDFT)

  • Port autonome de Dunkerque)  BB 4500

    le PAD (Port autonome de Dunkerque) est doté d’un terminal minéralier à Gravelines (Nord). Les rames de wagons sont chargées en minerai avec des 040 DE de CFTA/Veolia/Europorte. La BB 4504 est l’ex-HBNPC n° 33 du groupe de Valenciennes. (© PKET)

  • L’usine de construction d’automobiles Simca à Poissy

    L’usine de construction d’automobiles Simca à Poissy (Yvelines) fabriquait à la fin des années 1950 des « Ariane », « Chambord » et autres « Versailles ». La manoeuvre des wagons porte-autos était assurée par la locomotive n° 3, une 030 T Saddle Tank construite par Hudswell Clarke à Leeds en 1944 (n° 1768) pour le War Department (WD71492). (© LVDR)

  • Locomotive vapeur  130 T

    le Chemin de fer de Chauny à Saint-Gobain (Aisne), long de 6 km et ouvert en 1860, desservait la soudière de Chauny, ici avec la 130 T n° 7, une machine Cockerill construite à Seraing en 1913 (n° 2872). (© CNSL

  • 020 T Decauville

    « Mauriac », la locomotive n° 2 de la Société des charbonnages de Buzac (Corrèze) était une 020 T Decauville de 4 t en charge, à voie de 600 mm. Sa plaque portait le n° 117 ainsi que son année de construction : 1891. On remarque les petits wagons trémies peu courants et modernes pour l’époque… (© DR PKET)

  • Sans titre-6

    de l’engrais d’ammonitrate de Carling (Moselle) est déchargé chez Grande Paroisse à Fleury-les-Aubrais (Loiret). Un Dodge doté de roues ferroviaires assure les manoeuvres sur l’embranchement. (© LVDR)

  • locotracteur BDR type 12 1930

    les mines de fer à May-sur-Orne étaient exploitées par la Société des mines et produits chimiques (SMPC). Un téléphérique à minerai reliait le puits d’extraction aux trémies de chargement des trains situées en gare de Feuguerolles-Bully. Les manoeuvres de chargement des wagons Talbot étaient assurées entre autres par le locotracteur BDR type 12 V 100 livré en 1934 (n° 184). (© FXFO)

  • CC 65000 Agrivap

    la CC 65005 de construction CAFL SACM est une ancienne machine de ligne de la SNCF. L’Agrivap l’emploie régulièrement pour assurer la traction des trains chargés de bobines de papier kraft fabriquées à la Papeterie d’Auvergne à Giroux (Puy-de-Dôme) jusqu’à la cartonnerie Celta de Courpière, distante d’une dizaine de kilomètres. (© PKET)

  • les Cokes de Drocourt INDUSTRIE

    les Cokes de Drocourt (Pas-de-Calais) exploitaient deux lignes de batteries de fours à coke construites pour les derniers dans les années 1960. Lors du défournement du saumon de coke, celui-ci est poussé progressivement dans le wagon coke car tiré par le tracteur afin de répartir la charge. Le tracteur TL, construit par les ateliers de Lillers, va ensuite emmener le wagon chargé de coke incandescent sous la tour d’extinction où il sera aspergé d’eau. (© PKET)

  • Moyse BN 40 E 210 B

    ce Moyse BN 40 E 210 B était employé pour desservir les zones industrielles du nord de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire). Son propriétaire, Aproport, l’avait acheté en 1975 (n° 1359). On observe au premier plan une plaque tournante de 5m, vestige de l’exploitation ferroviaire ancienne. (© PKET)

  • Industrie  hauts fourneaux fonderie

    la coulée de l’acier en lingotière à la Société des Laminoirs, hauts fourneaux, fonderies et usines de la Providence à Rehon (Meurthe-et- Moselle) était assurée par cette grue de coulée, construite par la Société anonyme des ateliers de construction de la Meuse à Liège en Belgique. (© AAPE)

Réseaux. Les Chemins de fer industriels

29 avril 2015
- -
Par : Patrick ÉTIÉVANT

Précieux témoins de l’activité économique française passée et présente, les chemins de fer industriels sont pourtant trop peu souvent abordés par l’édition ferroviaire. Rédigé par Patrick Étiévant, éminent spécialiste de la question, et Bernard Collardey, qui a traité des connexions de ces chemins de fer avec les réseaux nationaux, cet ouvrage, qui vise l’exhaustivité, leur rend un passionnant hommage, région par région, site par site.

Les informations et images présentées dans les pages qui suivent sont inhabituelles et non traditionnelles : ce ne sont pas des trains en ligne, avec la locomotive en tête, cheminée en avant pour les locomotives à vapeur, dans une grande gare ou un paysage renommé et évocateur de vacances, sous un beau soleil avec un ciel nuageux et moutonné, ou encore des locomotives au dépôt ; mais des trains « mineurs » qui ahanent dans leur lieu secret, restreint, limité et confiné, souvent dans les arrière-cours, sous des trémies, sous terre, sous des planchers de coulée, dans des ambiances obscures, parfois poussiéreuses et sales, voire dangereuses du fait des gaz toxiques ou explosifs, des produits chauds ou en fusion qui sont manutentionnés sur des wagons spéciaux. Ainsi, les locomotives et locotracteurs qui sont présentés et illustrés dans cet ouvrage oeuvrent laborieusement, serviteurs obscurs, parfois méprisés et longtemps totalement oubliés. Et pourtant c’est grâce à eux que les matières premières, les produits semi-finis passent de mines en usines et que les produits finis arrivent aux consommateurs finaux en alimentant au passage les flux circulant sur les voies des grands réseaux ferroviaires. Comment vouloir comprendre, par exemple, la logique des flux de marchandises de l’artère Nord-Est, des réseaux de la Lorraine, de Rhône-Alpes, de la Normandie, sans s’intéresser aux besoins et aux productions des différentes usines, mines, ports et industries qui en jalonnent ces axes.

Ces locomotives vont et viennent avec des coupes de wagons, elles poussent, refoulent, tirent, patinent, raclent, renâclent ou stationnent. La machine se trouvant tantôt en tête, en queue, ou parfois au milieu de la rame, ou sur une voie parallèle, quand ce ne sont pas des cabestans ou des treuils qui la suppléent. Les vues proposées reflètent cette réalité et sont donc complètement antinomiques par rapport à l’académisme habituel, parfois monotone et répétitif que nous valent les vues de grands réseaux dans de nombreuses publications. Je remercie ici Didier Leroy et Philippe Feunteun d’avoir su convaincre les Éditions La Vie du Rail de sortir cet ouvrage un peu hors des sentiers battus. […] Pour tous les chemins de fer industriels ayant une interface ou leur origine avec une gare des grands réseaux nationaux, Bernard Collardey a eu la lourde tâche de faire la revue de leur épopée, depuis les origines jusqu’à nos jours, et de montrer comment la localisation des mines et des usines a pu influer sur la construction du réseau français, ou, à l’inverse, la construction d’usines a été déterminée parfois par la possibilité des débouchés ferroviaires, et comment ces mêmes mines et usines ont vu leur prospérité arriver grâce à leur raccordement au réseau général. Bernard Collardey passe en revue l’histoire passionnante des différents bassins industriels français et retrace avec une très grande précision les dates et lieux de leur création, leur développement, mais aussi leurs heurts et malheurs à l’occasion des conflits ou de la régression économique. […]

Pour commander « Les Chemins de fer industriels » cliquez sur la couverture

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