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Metro-Goldwyn-Mayer

A l’occasion de la rétrospective consacrée au réalisateur Anthony Mann, l’Institut Lumière programme Le grand attentat. Ce polar ferroviaire de 1951 aborde une page sombre de l’histoire des Etats-Unis, prémices de la guerre civile.

Le Grand attentat, un thriller politique signé Anthony Mann

23 mai 2024
- -
Par : Samuel DELZIANI

A Lyon, l’Institut Lumière rend hommage à un cinéaste hollywoodien célèbre pour les nombreux westerns qu’il a réalisés. Lancée en avril dernier, la rétrospective Anthony Mann – L’Ouest magnifique s’achève le 4 juin prochain. Au programme, une vingtaine de films qui couvre une période allant de 1945 à 1965.
Pendant cette longue carrière, Anthony Mann a réalisé toutes sortes de films. 

De très nombreux westerns devenus des classiques du genre comme L’homme de l’Ouest, L’appât, Winchester 73 ou encore Les Affameurs; des films noirs comme Marché de brutes ou La rue de la mort; des péplums comme Le Cid ou La chute de l’empire romain; des films d’aventure comme Le port des passions ou encore des films policiers comme Le grand attentat. Ce huis clos ferroviaire est un véritable thriller historique, le film s’ouvre sur cette introduction : « Il y a quatre-vingt- dix ans, un voyageur solitaire montait à bord du train de nuit de New York à Washington DC et lorsqu’il atteignit sa destination, son passage est devenu un chapitre oublié de l’histoire des États- Unis. Ce film est une dramatisation de ce voyage controversé ».

En 1861, quelques jours avant la cérémonie d’investiture d’Abraham Lincoln, un policier new-yorkais, John Kennedy (Dick Powell), découvre un complot visant à assassiner le président américain nouvellement élu. Alors qu’il tente d’alerter sa hiérarchie, il ne rencontre que sarcasme et indifférence. Quand il essaie de convaincre son supérieur particulièrement rétif, il est renvoyé et doit rendre sa plaque. Mais, il choisit tout de même de monter à bord du train de nuit entre New York et Washington afin de déjouer le complot, qui doit se réaliser en gare de Baltimore dans le Maryland. Arrivé en retard, il rejoint son collègue, l’inspecteur Reilly, qui l’attend à sa place en possession de son billet de train.

Mais quand il arrive, aucune trace du policier. Kennedy part à sa recherche, fouille le train et dans le fourgon à bagages, retrouve les lunettes de Reilly. Puis, sur la plate-forme du fourgon, son corps sans vie. Le policier est alors sûr de son fait : il existe bien un complot visant le président des Etats-Unis et un ou plusieurs de ses instigateurs voyagent également à bord du train de nuit. Alors qu’il regagne sa couchette, il trouve un imposteur qui a subtilisé son manteau et soutient au contrôleur qu’il est lui-même John Kelly. Il cherche de l’aide auprès du colonel Caleb Jeffers (Adolphe Menjou) qui semble prêter une oreille attentive aux craintes du policier.

Le train avance dans la nuit et le détective tente de démasquer les membres du complot. Dans la voiture-salon, les voyageurs débattent autour d’un verre ou d’une gare. Ils font le point sur les dernières rues, affichent leurs oppositions. D’un côté, le camp abolitionniste, représentée avec panache par Charlotte Alsop (Flo- rence Bates) de l’autre, celui des Confédé- rés, attachés à l’esclavage.

John Kennedy persiste, malgré l’abandon de sa hiérarchie. Le policier devient alors l’homme à abattre… Seule la courageuse Rachel (Rubee Dee), une jeune esclave qui accompagne ses maîtres, Ginny et Lance Beaufort, un frère et une sœur issus d’une grande famille du Sud, prend tous les risques pour venir en aide au policier new-yorkais.





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