Description

Votre retraite
Thalasso : les
bonnes formules
du CCE
Faut-il vraiment
aller plus vite
SNCF/nouveaux
entrants
Quelles conditions
de travail pour
les personnels ?
TGV
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La Vie du Rail
– 9 mars 2011
À la une…
Photo de couverture
Une rame POS franchit le viaduc de la Moselle, sur la
LGV Est.
� Projecteur
360 km/h. Vitesse limite
� Une semaine
dans La Vie du Rail
SNCF/nouveaux entrants. Quelles conditions
de travail pour les personnels ?
p. 10
Signal d’alarme. Des peines plus lourdes
en cas d’abus
p. 11
Tarentaise bloquée. La piste de la malveillancep. 12
Tarifs SNCF. Les militaires en prennent
pour leur grade
p. 14
Aquitaine. Le tram-train du Médoc
à l’horizon 2014
p. 15
Languedoc-Roussillon. Dix fois moins de produits
fongicides et pesticides sur les voies
p. 16
Allemagne. La ponctualité des trains fait débatp. 17
� La vie des associations
Santé. La thalasso, gage de tonus et de vitalité
� Les programmes télé
� Ciné rail
CinéRail. En compagnie de l’Inde
� Transports urbains
Melbourne. Les trams veulent reprendre le pouvoir
� Sport
Ski en entreprise. Un club cheminot sur
la troisième marche du podium
� Jeux
� Petites annonces
�Agenda
� sommaire
Photos de la couverture : Christophe RECOURA/RFF et du sommaire : RFF/CAPA/Christel SASSO(TOMA).
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C’est, comparé à la même période de
l’année précédente, la hausse des
ventes de billets d’Eurostar vers
Londres entre le 28avril et le 2mai, du
fait du mariage du prince William et de
Kate Middleton le 29avril.
À SUIVRE
L’ANECDOTE
Une folie
100000
l’aller-retour en train Gênes – Milan: c’est ce qu’aurait dépensé une
Saoudienne qui, selon la presse italienne, désirait arriver en train à Milan pour y
faire du shopping! Prestige Continental Express a mis à sa disposition un train
arrivé à Milan le 9janvier pour repartir vers Gênes quatre jours après.
Référé. La SNCF perd face
à son CCE.
La direction de la
SNCF a perdu le 2mars le
procès engagé contre son
comité central d’entreprise et
son comité d’établissement
fret. Elle leur reprochait la
récente campagne d’affichage
affirmant que «tous les jours,
on tue le fret ferroviaire». Le
juge des référés du tribunal
de Grande Instance n’a pas
suivi la SNCF, qui se plaignait
d’une atteinte à son image. Il a
au contraire estimé que
«cette affiche participe au
débat légitime» sur le sujet.
LGV Tours – Bordeaux.
Vinci pense vite boucler le
financement.
Le groupe de
BTP et de concessions Vinci
espère boucler «dans les
prochaines semaines» le
financement de la LGV Tours –
Bordeaux. À l’origine, la
finalisation de ce projet était
attendue à l’automne dernier.
Le contrat comprend le
financement, pour un total de
7,4milliards, de la conception,
la construction, l’exploitation
et la maintenance de la ligne
nouvelle.
RUE DU COMMANDANT
CHUCHOTE
Quand les quais bas sont
trop hauts
Les quais de la ligne d’Esbly à
Crécy-la-Chapelle (77) ont beau être
bas, ils sont encore trop hauts de 10
à 26centimètres par rapport au
plancher du tram-train Avanto qui
pourrait desservir cette antenne.
D’où un risque de se cogner la tête
pour les personnes de grande taille,
sans parler de la «marche» à
monter lors de la… descente. En
revanche, le risque de chute causé
par la lacune de 40centimètres
entre la caisse et le quai
«reste
acceptable»
, selon une étude qui
analyse le fonctionnement du
«comble-lacune».
T
rois records du monde,
éclatants, établis par les
Français, le 26février 1981
(380km/h), le 18mai 1990
(515,3km/h) et le 3avril 2007
(574,8km/h), scandent l’his-
toire de la grande vitesse. À
trois reprises, ils ont montré
que la France faisait la course
en tête. Certes, le Japon l’avait
devancée dans la création d’un
réseau à grande vitesse. Une
rencontre à la maison de la
Culture du Japon, à Paris, le
9février, a été l’occasion de le
rappeler: dans le traumatisme
de l’après-guerre, les Japonais
décidaient de ne plus s’en te-
nir à leur savoir-faire ferroviaire
issu des technologies britan-
niques, et de s’ouvrir à d’au-
tres expériences, comme celle
de l’utilisation du courant in-
dustriel pratiquée par les Fran-
çais. L’ère de la grande vitesse
s’ouvrait.
2011 est l’année des trente ans
du TGV. Une bonne façon d’en
commencer la célébration, c’est
de prendre comme point de
départ l’anniversaire du pre-
mier de ces trois records du
monde établis par une rame à
grande vitesse. Trente ans
après, l’heure est plus grave. Et
pourtant, la course à la vitesse
a été validée. Mieux, même:
les Français sont les seuls à
avoir l’expérience, depuis tant
d’années, d’une exploitation de
trains à 300km/h et, avec le
TGV Est, à 320km/h. Mais les
Chinois pratiquent maintenant
le 350km/h en service com-
mercial, viennent de comman-
der des rames aptes à
380km/h, et on évoque cou-
ramment, en Extrême-Orient,
quasiment pour demain, les
380 ou 400km/h. En Europe
même, l’Espagne se targue
d’avoir dépassé la France: c’est
vrai en kilométrage de LGV,
même si les Espagnols ne pra-
tiquent toujours pas le
350km/h annoncé. Les Alle-
mands, longtemps, ont donné
l’impression de se limiter au
rôle de seconds en Europe, et
n’avoir eu l’ambition que de
desservir au mieux leurs cha-
pelets de villes. Mais le rôle dé-
terminant qu’ont les rames Ve-
laro dans la grande vitesse
chinoise a montré que leur sa-
voir-faire s’exporte et qu’il se
prête à de très hautes vitesses
en exploitation. Quant aux Ja-
ponais, qui n’étaient guère sor-
tis de leurs frontières, sinon
dans cette autre Chine qu’est
l’île de Taïwan (et sans omet-
tre l’Angleterre, avec les Class
395 Hitachi), ils ont réussi, à
l’égal des Allemands, à vendre
leurs rames et leur technologie
à l’empire du Milieu.
Le symbole de l’incroyable
montée en puissance chinoise
fut la tenue à Pékin, en dé-
cembre dernier, du congrès
mondial de la grande vitesse,
High Speed. Pour l’ouvrir di-
gnement, les chemins de fer
chinois établissaient, le 3dé-
cembre, un record de vitesse
mondial par une rame non
modifiée, à 486,1km/h.
Aussi se trouve-t-on face à un
paradoxe. Les vitesses égales
ou supérieures à 350km/h
sont deman-
dées par le
marché
Le 26février 1981, le TGV établissait un record mondial, à 380km/h. Depuis, il a fait la course
en tête… jusqu’à ces dernières années, où de nouveaux modèles de grande vitesse apparaissent.
Mieux à même peut-être d’affronter les 360km/h en vitesse commerciale.
Nous examinons cette semaine cinq questions techniques que pose le 360. La semaine prochaine
nous en examinerons cinq nouvelles.
360km/h.
Vitesse limite
Seule la France a une expérience massive
et ancienne de la très grande vitesse.
Et pourtant…
Le 3avril 2007, une machine mutante, tenant déjà de l’AGV et encore
beaucoup du Duplex, établissait un record mondial à
574,8km/h. Le record s’inscrivait dans un
programme de recherche qui a tout l’air
d’être en déshérence.
�
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
PROJECTEUR
mondial, notamment asiatique.
Seule la France a une expé-
rience massive et ancienne
dans la pratique au quotidien
des très hautes vitesses ferro-
viaires.
Pourtant, d’autres systèmes
prennent la tête, tandis même
qu’une bonne partie des Fran-
çais se demandent si la course
est bien légitime, et si nous
sommes bien placés pour la
remporter. Que se passe-t-il?
Le dernier record du monde,
établi par une machine mu-
tante, était censé s’inscrire
dans un programme d’excel-
lence ferroviaire française. Le
programme de recherche qui
devait suivre a tout l’air d’être
resté sur le bord de la voie.
Quelle est la pertinence éco-
nomique d’une vitesse très éle-
vée? Comment la voie se
comporte-t-elle? À quel mo-
ment faut-il passer du ballast à
la voie sur dalle?
«Nous
n’avons malheureusement pas de
programme de recherche en
continu»,
reconnaît un proche
du dossier. Et l’on voit les trois
partenaires du record (SNCF,
RFF, Alstom) tirer à
hue et à dia. Alstom maîtrise
de longue date la rame articu-
lée, mais sous la pression des
marchés internationaux re-
vient à une architecture plus
classique: on complète la
gamme, dit le constructeur,
pour présenter tant bien que
mal ce revirement stratégique.
Le président de la SNCF, qu’on
a connu circonspect sur la
question des très grandes vi-
tesses, tient aujourd’hui un
discours volontariste, corres-
pondant bien à une SNCF
qu’il veut
«champion indus-
triel»:
les 350-360km/h, a-t-
il redit le 9février devant un
auditoire franco-japonais,
«ressemblent à une norme».
Cependant, la solution fran-
çaise pour y parvenir (rame ar-
ticulée et ballast) n’emporte
pas l’adhésion de tous, même
en France. Plus largement, à
RFF, on pense d’ailleurs qu’il
pourrait être intéressant, plutôt
que d’adapter artificiellement
les caractéristiques du réseau
aux besoins d’un marché
mondial
lui-même diversifié, d’expor-
ter le savoir-faire que nous au-
rons toutes les chances de dé-
velopper longtemps. Encore
faudrait-il disposer d’une doc-
trine de la grande vitesse qui
fasse l’unanimité. On a plutôt
l’impression qu’elle oscille au-
jourd’hui, par exemple, entre
l’effet réseau grâce aux lignes
classiques et la desserte de
point à point sur les tronçons
les plus rentables. L’État n’aide
pas à clarifier la situation. Son
avant-projet de schéma natio-
nal des infrastructures propose
des milliers de kilomètres de
LGV que ni l’opérateur histo-
rique ni le gestionnaire d’in-
frastructure ne demandent, et
dont à peu près tout le monde
doute de la réalisation.
Le colloque franco-japonais
qui s’est tenu en février fut
l’occasion d’une célébration ré-
ciproque, sous le signe de
deux figures tutélaires: Louis
Armand, qui eut l’idée de l’uti-
lisation du courant industriel,
et Shuichiro Yamanouchi, l’an-
cien président d’East Japan
Railway.
On n’a pas mis en avant une
divergence d’approches entre
Japonais et Européens que
nous avait exposée Shui-
chiro Yamanouchi au début
des années 1990, alors que la
Commission européenne
commençait à mettre en œu-
vre la séparation de l’infra-
structure et de l’exploitation;
réforme qui, nous disait le di-
rigeant japonais, nous condui-
sait droit à la catastrophe.
Pour sa part Thierry Mignauw,
l’un des anciens dirigeants de
la SNCF, ne cache pas sa certi-
tude que, si l’infrastructure et
l’exploitation avaient à
l’époque été divisées, l’aven-
ture de la grande vitesse n’au-
rait pu être menée à bien.
Trente ans après les débuts du
TGV, alors que la France est
allée loin dans la séparation
institutionnelle des deux fonc-
tions du ferroviaire, on voit
bien, devant le seuil des 350-
360km/h, que l’heure est ve-
nue de repenser le système.
Seule une remise en question
peut aujourd’hui donner un
sens fort à la célébration.
F. D.
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
�
RFF / RFF ALSTOM SNCF / D.LEFRANC
�
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
PROJECTEUR
5 questions que posent
les 360km/h
1
�
À 360km/h, consommera-t-on beaucoup plus d’électricité?
2
�
Le coût de la maintenance du matériel roulant
va-t-il augmenter?
E
ntre l’apparition, en 1978,
de la première rame de présé-
rie du TGV Sud-Est dite alors
PSE (qui s’appuyait sur des
technologies élaborées au mi-
lieu des années soixante-dix)
et celle du prototype AGV dé-
veloppé par Alstom, un quart
de siècle s’est écoulé! Le TGV
PSE, d’une capacité d’environ
370 places, avait été originel-
lement dimensionné pour cir-
culer à la vitesse maximale de
260km/h en service commer-
cial, même s’il roule désormais
tous les jours à 300km/h sans
difficulté aucune. De même
longueur que le TGV PSE mais
plus léger, l’AGV, lui, empor-
tera 450 voyageurs à
360km/h. C’est dire si, en
quelque 25 ans, les ingénieurs
ont su faire considérablement
évoluer le niveau des connais-
sances dans cette science nou-
velle des grandes vitesses fer-
roviaires. S’il s’était agi de
proposer un train capable de
rouler à 360km/h en service
commercial mais construit à
partir des technologies mises
en œuvre sur le PSE, l’aug-
mentation de la consommation
d’électricité (tout comme celle
du coût d’entretien du maté-
riel roulant rapporté à la place
offerte) aurait été bien réelle.
Toutefois, grâce à la créativité
déployée par l’industrie ferro-
viaire, l’exploitation de trains
à 360km/h n’engendrera pas
de surcoûts sur l’énergie né-
cessaire à leur circulation.
«Le
3avril 2007, la facture d’électri-
cité correspondant au record
mondial de vitesse sur rail à
574,8km/h s’est élevée, ce jour-
là, à juste un euro par voyageur
transporté! Pour l’avion, le coût
de l’énergie est un réel problème,
mais pour le train à très grande
vitesse, ce n’est pas un sujet»
commente François Lacôte, di-
recteur technique d’Alstom
Transport.
Sous-station de Vaumort sur la ligne à grande vitesse Paris-Sud-Est.
RFF / D’ANGELO Jean-Jacques
D
ans le coût de la maintenance
du matériel roulant, il y a tou-
jours une part liée au kilomé-
trage et une part liée au temps.
À l’origine, les parcours annuels
des rames TGV PSE s’établis-
saient à 350000km. Au-
jourd’hui, ceux des Duplex os-
cillent autour de 500000km.
Par la simple augmentation des
parcours annuels, le coût de
maintenance au kilomètre a
déjà été sensiblement réduit.
Ensuite, des progrès considéra-
bles ont été accomplis, qui ré-
duisent significativement les
phénomènes d’usure, qu’il
s’agisse des moteurs de traction,
des roulements, ou encore des
disques et garnitures de frein.
«Ces progrès ont su effacer les
coûts liés à l’augmentation des vi-
tesses»,
assure aujourd’hui
François Lacôte.
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
�
«L
e gestionnaire des infra-
structures se soucie des consé-
quences de la circulation du ma-
tériel sur ses lignes»
, prévient
d’emblée Alain Sauvant. Le di-
recteur de la stratégie à RFF
chiffre à 2euros du train-ki-
lomètre l’endommagement de
la voie par une unité simple
(200m) de train à grande vi-
tesse. En prenant comme hy-
pothèses réalistes un parcours
moyen annuel de 400000km
et une durée de vie de 35 ans,
chaque rame, au cours de son
existence, aura donc endom-
magé la voie pour quelque
30millions d’euros, soit un
coût équivalent à son prix
d’achat!
«Pouvoir disposer d’un
matériel roulant qui abîme le
moins possible les infrastructures
est donc un enjeu fort, et si l’on
peut seulement gagner 10% sur
ce coût d’endommagement, cela
vaut la peine!»
, clame Alain
Sauvant.
«Avec la séparation
des infrastructures et de l’ex-
ploitation puis l’émergence, dans
les dix prochaines années, de
nouvelles entreprises ferroviaires,
la tentation pourrait être de cher-
cher à minimiser les coûts à nos
dépens, aussi nous nous sentons
légitimes à vérifier que l’on prend
bien en compte l’intérêt de l’en-
semble du système et l’optimisa-
tion de son cycle de vie.»
Si RFF
se défend de vouloir adopter
une démarche normative, il
croit en revanche au dialogue
et pourrait aussi, dans un se-
cond temps, développer des
incitations tarifaires en direc-
tion des opérateurs utilisant
des matériels reconnus moins
agressifs. Toute la question se-
rait alors de pouvoir recher-
cher quelle incidence chacune
des différentes solutions tech-
niques proposées par l’indus-
trie ferroviaire exerce réelle-
ment sur le rythme d’usure de
la voie. Aussi, face à la pers-
pective de rouler un jour en
France à 360km/h, RFF s’in-
terroge d’emblée sur les consé-
quences économiques d’une
telle opération. Rouler plus
vite suppose des rayons de
courbure supérieurs (10%
d’augmentation de la vitesse
requiert un accroissement de
20% des rayons de cour-
bures), d’où, selon RFF, une
majoration des coûts de
construction pour les pro-
chaines lignes nouvelles que
leur intensité d’utilisation pré-
vue ne justifie pas. Ensuite, il
y a bien sûr le surcoût inhé-
rent à un entretien courant à
considérer forcément comme
plus important, mais le
consensus scientifique n’existe
pas encore quant à la loi de
variation avec la vitesse du
coût de maintenance global de
la voie. Sans doute ne dispose-
t-on toujours pas du recul né-
cessaire en ce domaine…
Pour l’opérateur, l’équation
économique serait, semble-t-
il, assez différente: en faisant
rouler plus vite ses rames, il
transporterait davantage de
voyageurs, qui paieraient
peut-être aussi plus cher leurs
billets (corollaire de la réduc-
tion des temps de parcours),
tout en pouvant redimension-
ner son parc à la baisse…
3
�
Quelles seront les incidences sur la construction et
l’entretien des lignes à grande vitesse?
RFF / CAPA / Christel SASSO(TOMA)
Travaux de voies sur
une ligne à grande vitesse.
�
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
PROJECTEUR
5
�
La diminution du débit
de la ligne avec
l’accroissement des vitesses
est-elle inéluctable?
L
e bruit émis à l’extérieur par
la circulation d’un train pro-
vient pour partie de son rou-
lement et pour partie d’effets
aérodynamiques. Entre les gé-
nérations TGV PSE et AGV, il a
déjà été possible de gagner
10dBA sur le bruit de roule-
ment à une vitesse de
300km/h. En revanche, le
bruit aérodynamique repré-
sente un problème autrement
plus ardu. Les Japonais, dont
les Shinkansen roulent sou-
vent en zone très urbanisée,
déploient depuis de nom-
breuses années des trésors
d’imagination pour tenter de
limiter toujours davantage ce
type de bruit, d’où les fameux
carénages en forme de bai-
gnoire sur la toiture des rames
autour des pantographes, ou
encore les multiples formes de
nez jusqu’ici essayées pour
améliorer le coefficient aéro-
dynamique mais aussi réduire
les effets en entrée de tunnel
ou au croisement d’autres
trains. Au sol, la seule parade
vis-à-vis des riverains est le
mur édifié le long de la plate-
forme, inesthétique et bien sûr
très coûteux… En effet, si le
bruit de roulement augmente
comme le cube de la vitesse,
le bruit aérodynamique, lui,
varie avec la puissance 6 ou
7! Autrement dit, c’est alors
ce dernier bruit qui, de très
loin, devient prépondérant.
Les courbes représentatives de
ces deux bruits en fonction de
la vitesse se croisent d’ailleurs
dans une plage comprise en-
tre 250km/h et 300km/h.
Voilà pourquoi un train à sus-
tentation magnétique n’est
nullement moins bruyant
qu’un train conventionnel
avec roue d’acier roulant sur
rail d’acier…
Mur antibruit à hauteur de la gare de Chelles.
RFF / CAPA / Laurent Rothan (TOMA)
L
a distance d’arrêt d’un train
augmente comme le carré de
la vitesse. En conséquence,
toutes choses égales par ail-
leurs, il est clair qu’à 360km/h
il faudrait a priori davantage
d’espace pour séparer deux
trains consécutifs. On en dé-
duit très intuitivement que le
débit de la ligne va forcément
diminuer. En réalité, ce débit
varie pratiquement comme
l’inverse de la vitesse. Mais sa
diminution n’est en rien une
fatalité. Ainsi, le concept
ERTMS, mis au point à l’ori-
gine pour régler le seul pro-
blème de l’interopérabilité,
peut aussi avoir, sur le débit
des infrastructures, de très
heureuses retombées. Ainsi, le
simple rééquipe-
ment de la ligne
à grande vitesse
Sud-Est avec le
«niveau 2» per-
mettrait déjà de
«passer» seize
TGV à l’heure au
lieu des douze en
TVM 300 (ou des quinze en
TVM 430). Cela dit, même au
rythme de seize TGV à l’heure,
on n’a pas épuisé, pour autant,
toutes les ressources d’ERTMS
en matière de gestion de l’es-
pacement, loin s’en faut! En
effet, la séquence d’arrêt reste
toujours dimensionnée en par-
tant du principe que le train
qui la provoque à l’intention
d’un train suiveur se trouve
lui-même arrêté. Ce qui,
presque toujours, n’est pas le
cas. Or, avec ERTMS, il de-
vient justement possible de
connaître, avec précision et
surtout «en sécurité» (dans
toute l’acception ferroviaire du
terme), la vitesse réelle de
chaque train. En prenant l’hy-
pothèse réaliste qu’un TGV
lancé à 300km/h ne saurait
s’arrêter instantanément, l’in-
tervalle entre deux circulations
successives pourrait être alors
resserré bien davantage encore
pour permettre, cette fois, le
passage de dix-neuf TGV par
heure! Et si d’aventure ce
TGV s’était arrêté
«sur place»,
en subissant une décélération
infiniment supérieure à celle
attendue, c’est qu’il aurait alors
fatalement déraillé, avec pour
conséquence l’engagement ex-
trêmement probable du gaba-
rit de la voie
contiguë. À ce
moment-là, le
vrai risque
concerne à l’évi-
dence le premier
train croiseur, et
non le train sui-
veur. Or, si ce
risque ne peut être géré par les
systèmes existants, il le serait
sans difficulté aucune à partir
d’un ERTMS ainsi «boosté».
Le train déraillé enverrait alors
automatiquement, toujours
«en sécurité», un message au
premier train croiseur comme
au train suiveur, provoquant
immédiatement leur freinage
d’urgence. En analyse
«Gamé» (globalement au
moins équivalent), la dé-
monstration devrait pouvoir
être faite que l’ERTMS
«boosté» ne dégrade nulle-
L’ERTMS peut
aussi avoir
d’heureuses
retombées sur
le débit des
infrastructures
4
�
Quel sera l’impact
sonore de trains
circulant à 360km/h sur
l’environnement?
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
�
ment le niveau de sécurité,
puisqu’il l’améliore déjà très
sensiblement pour ce qui
concerne les croisements de
trains. Performante alternative
à de coûteux travaux d’infra-
structure en vue d’endiguer la
saturation des axes existants,
ce système sera d’autant plus
intéressant que les vitesses
maximales en service com-
mercial seront élevées. Il doit,
en tout cas, permettre le
même débit à 360km/h qu’à
300. Il faudrait juste faire ad-
mettre à tous qu’il n’est plus
nécessaire (moyennant, bien
sûr, quelques précautions) de
considérer un obstacle mobile
comme fixe, ce que l’on faisait
jusqu’ici non pour de préten-
dues raisons de sécurité, mais
bien parce qu’on ne savait pas
techniquement faire autre-
ment! Casse-cou? En tout
cas, ce challenge reste encore à
gagner car même si, à la ré-
flexion, le raisonnement n’est
pas si fou, il faudrait là, pour le
moins, faire tomber un sacré
tabou… Le constructeur Als-
tom, qui est à l’origine de ce
nouveau concept, aurait ap-
paremment davantage
convaincu RFF que la SNCF,
plus encline à réclamer, au
contraire, de nouvelles lignes.
Mais il ne faut pas s’en éton-
ner: il y a déjà plus d’une dé-
cennie, un haut responsable
des CFF (Chemins de fer fé-
déraux suisses) nous alertait
déjà de difficultés à venir,
consécutives à la séparation to-
tale, en France, entre exploi-
tation et gestion des infra-
structures. Et c’est exactement
ce qui se passe aujourd’hui.
Chacun campe logiquement
dans son rôle bien légitime de
défendre les intérêts qui lui
sont propres. Pour éviter de
devoir créer des sous-parcs
toujours préjudiciables à la
souplesse de l’exploitation, la
SNCF aurait à équiper de
l’ERTMS, si le concept était
adopté, quelque 560 rames
TGV. Un coût énorme qu’elle
devrait alors seule supporter,
alors qu’une infrastructure
nouvelle sera à la charge de
RFF…
Philippe HÉRISSÉ
Philippe HÉRISSÉ
Expérimentation du système
ERTMS en Allemagne,
dans les environs de Halle.
�
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
UNE SEMAINE DANS
LA VIE DU RAIL
SNCF/nouveaux entrants.
Quelles conditions de travail
pour les personnels?
C’
est dans un
«cadre social
harmonisé»
que doit être réa-
lisée l’ouverture du marché fer-
roviaire de voyageurs: l’ex-
pression figure dans la
nouvelle lettre de mission
adressée le 14février par le
président de la République à
Guillaume Pepy.
Aussi, le 18février, le prési-
dent de la SNCF, se fondant
sur cet impératif, a-t-il adressé
une lettre à Nathalie Kos-
ciusko-Morizet, ministre de
l’Écologie, pour demander à
l’État d’assurer le
«cadrage»
de la négociation concernant
ce marché.
Car la grande peur de la SNCF,
c’est que l’ouverture à la
concurrence se fasse dans le
transport de voyageurs comme
elle s’est faite dans le fret fer-
roviaire. Le président de la
SNCF souligne, dans cette let-
tre dont nous avons eu copie,
que, dans le fret,
«les régimes
de travail mis en place après né-
gociation entre partenaires so-
ciaux et entérinés par le décret
du 27avril 2010 ont institué un
régime à deux vitesses, caracté-
risé par d’importants écarts de
traitement entre les salariés du
secteur privé et ceux de la
SNCF.»
Or, aujourd’hui, s’annoncent
«de nouvelles discussions sur l’or-
ganisation du travail dans le
transport international de voya-
geurs, ouvert depuis décem-
bre2009 à la concurrence.»
SNCF réagit
d’autant plus
que
«cette négo-
ciation influera
en pratique sur le
contenu des né-
gociations à ve-
nir, dans le cadre de l’ouverture
à la concurrence du transport de
voyageurs sous contrat de service
public (transport régional et
trains d’équilibre du territoire).»
Pour la SNCF,
«le champ d’ap-
plication des négociations à venir
doit couvrir l’ensemble des sala-
riés et des opérateurs du sec-
teur.»
Cette mesure permet-
trait d’éviter un développement
de la concurrence fondé sur le
seul
«dumping social».
Pour Guillaume Pepy,
«la né-
gociation sur le régime de travail
commun et harmonisé doit s’ap-
pliquer aux cheminots de toutes
les entreprises ferroviaires, en re-
cherchant des facteurs d’amélio-
ration tout en se référant aux rè-
gles en vigueur aujourd’hui au
sein de l’opérateur historique –
notamment dans leur contribu-
tion à la sécurité
des circulations
ferroviaires.»
L’Association
française du rail
(Afra) a vive-
ment réagi par
un communiqué de presse, le
28février. L’Afra, qui regroupe
«les entreprises ferroviaires nou-
velles entrantes sur le marché
français»
(ECR, Trenitalia,
Veolia), juge que
«la proposi-
tion d’un cadrage préalable du
dialogue social et d’une supervi-
sion par le gouvernement est
inacceptable».
Pour l’Afra,
«il
faut donner sa chance au dia-
logue social comme cela a été le
cas pour la convention collective
du fret.»
L’association déplore que le
président de la SNCF exige
que
«la négociation couvrant
l’ensemble des salariés et des opé-
rateurs du secteur se réfère aux
seules règles en vigueur au-
jourd’hui au sein de l’opérateur
historique.»
En outre, selon l’Afra,
«cette
approche ne tient absolument pas
compte des avantages dont béné-
ficie la SNCF dans le cadre ac-
tuel des appels d’offres: connais-
sance du marché, contrôle des
réseaux commerciaux, maîtrise
de la gestion des circulations et
des gares.»
Pour l’Araf,
«une approche qui
consisterait à appliquer aux nou-
veaux entrants les équilibres pro-
pres à la SNCF serait la néga-
tion même du principe de
concurrence.»
Bref, la volonté claironnée de
l’harmonisation se manifeste
par des désaccords criants.
F. D.
L
e 24février, le journal
Les Échos
a dé-
voilé une étude interne de la SNCF, re-
connaissant que l’exploitation du TER
pourrait être de 25 à 30% plus chère
en France que dans une quinzaine
d’autres réseaux européens.
Ce surcoût est principalement dû au
temps de travail de 35heures dans
l’Hexagone. Il s’explique aussi forte-
ment par la réglementation propre à
l’entreprise, le RH0077, qui organise
les conditions de travail des cheminots.
Et le différentiel de coûts s’explique en-
fin, dans une moindre mesure, par les
coûts structurels et l’organisation interne
de la SNCF. Sur ces sujets, des progrès
de productivité sont possibles, affirme-
t-elle.
Pour affronter la concurrence à venir, la
compagnie nationale défend un cadre
social harmonisé pour tous. Elle vou-
drait discuter avec les syndicats des
conditions de travail, en réaménageant
par exemple les journées de travail et
de repos des conducteurs. Un sujet hau-
tement sensible qui aboutirait à modifier
le RH 077, habituellement défendu bec
et ongles par les syndicats.
M.-H. P.
«La négociation sur
le régime de travail
doit s’appliquer aux
cheminots de toutes
les entreprises. »
La SNCF reconnaît un surcoût d’environ 30% pour le TER
Yolande MAGNANI
Un AGC BiBi Transilien en Seine-et-Marne.
�
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
UNE SEMAINE DANS
LA VIE DU RAIL
C’est une première nationale
en Languedoc-Roussillon:
RFF et l’Agence de l’eau Rhône
Méditerranée et Corse vien-
nent de lancer ensemble une
expérimentation de techniques
antivégétation alternatives au
désherbage chimique des voies
ferrées. Dix fois moins de pro-
duits fongicides et pesticides
sur les voies ferrées, tel est
l’objectif du projet mené en ce
moment dans le secteur des
étangs au cœur du Parc natu-
rel régional de la Narbonnaise
(Aude). Le chantier est en
cours: quatre techniques dont
trois inédites en France sur le
réseau ferré sont installées.
Elles feront l’objet d’un suivi
pendant au moins cinq ans
afin de mesurer leurs évolu-
tions et de conclure sur l’effi-
cacité de ces expérimentations.
Selon RFF, d’ici à deux ans,
une première évaluation per-
mettra de proposer l’élargisse-
ment de l’expérience à l’échelle
nationale sur d’autres sites sen-
sibles de même nature. Dans
la zone proté-
gée des étangs
et sur quatre
secteurs, entre
Narbonne et
Leucate, l’entre-
prise de TP Razel, sous la maî-
trise d’œuvre de la SNCF, est
en train de fixer de part et
d’autre de la voie des mem-
branes permettant de lutter
contre la végétation avant son
développement. Cela nécessite
la mise en place d’un système
de protection contre la végé-
tation afin de stabiliser les ta-
lus, la fixation sur 1m de large
de 500m de géotextiles, la
pose sur 500m de nattes an-
tivégétation en élastomère
ainsi que d’une membrane bi-
tumée. L’ensemble des 21km
de voies traversant les étangs
du Narbonnais
sera désormais
désherbé méca-
niquement.
RFF précise
que ce travail
partenarial vise à supprimer
progressivement les rejets phy-
tosanitaires dans les étangs de
la Narbonnaise. Le montant
de l’investissement est de
210000euros répartis pour
80% pour l’Agence de l’eau et
20% pour RFF.
Robert FAGES
Languedoc-Roussillon.
Dix fois moins de produits fongicides
et pesticides sur les voies
En�n des techniques
antivégétation
alternatives au
désherbage chimique
Robert FAGES
La fixation de part et d’autre de la voie des membranes permettant
de lutter contre la végétation avant son développement.
L
a boucle d’essai ferroviaire du Valen-
ciennois pourrait enfin voir le jour, ont
affirmé, d’une seule voix, les élus de tous
bords et les professionnels du ferroviaire
réunis, à Valenciennes le 28 janvier. La
veille, Railenium s’est officiellement porté
candidat à l’appel à projets des instituts
de recherche technolo-
gique (IRT). L’enjeu pour
l’équipe qui entend créer
le laboratoire de l’avenir
du rail? Bénéficier du fi-
nancement de l’État, qui
participerait à hauteur de
100 millions d’euros (budget global :
540 millions d’euros sur dix ans).
Développé autour d’un noyau dur (pôle
I-Trans, RFF, SNCF, Alstom), Railenium
vise à faire converger les travaux des
meilleurs chercheurs publics et des in-
dustriels autour d’un pôle multidiscipli-
naire et multicompétence dédié au rail.
L’IRT se partagera sur deux sites. D’une
part, la future boucle d’essai de 5km si-
tuée à Bachant (près de Maubeuge), pré-
vue pour tester les infrastructures; de
l’autre, l’université de Valenciennes, spé-
cialiste du transport et du
ferroviaire. Le centre d’es-
sai sera composé d’une
boucle principale et
d’équipements connexes:
une piste d’essai de tram-
way, un manège de fatigue et des bancs
d’essai. Né il y a plusieurs années, ce pro-
jet a bien évolué: d’abord centré sur le
matériel, il vise désormais les infrastruc-
tures. Les objectifs sont clairs: réduire le
coût de maintenance des rails de 30%,
baisser leur consommation de 20% et
augmenter de 20% le débit des infra-
structures existantes. L’ambition est aussi
de raccourcir le développement des in-
novations et par là même les délais d’ho-
mologation des équipements.
Seuls quatre à six projets d’IRT seront sé-
lectionnés, la fin du suspense est attendue
pour juin. En cas de succès de la candi-
dature nordiste, une première tranche de
travaux de trois ans (à hauteur de 20 à
25 millions d’euros) serait lancée dès l’été.
La boucle ferroviaire pourrait alors voir
le jour d’ici cinq ou six ans. À suivre
donc, avec une autre interrogation: quel
avenir pour le projet sans financement
de l’État? Selon Yves Ravalard (I-Trans et
université de Valenciennes), le projet est
trop avancé pour ne pas voir le jour,
d’une manière ou d’une autre…
Marie RAIMBAULT
Nord-Pas-de-Calais.
Union sacrée pour une boucle
d’essai ferroviaire dans le Valenciennois
Deux sites en liaison :
la boucle d’essai
et l’université
de Valenciennes
La Vie du Rail
– 9 mars 2011

Droits.
Vous défendre si vous êtes
victime d’un accident
L
ors d’un accident
dont vous avez été
victime, la responsa-
bilité d’un tiers est par-
fois engagée. Dans ce
cas,
vous de-
vez décla-
rer cet acci-
dent à la CPR
dans un délai de 15
jours. Vous devez aussi le
déclarer à votre mu-
tuelle. Ceci est vrai
pour vous-même et
pour les membres de votre famille affiliés à
la CPR.
Ce geste simple et citoyen aide à préserver
notre système de santé. En effet, vos rem-
boursements restent inchangés et ils seront
effectués selon les conditions et taux habi-
tuels, quelle que soit votre éventuelle part de
responsabilité dans l’accident. Mais, grâce
à cette démarche, c’est la CPR qui pourra
présenter ces débours au tiers ou à sa com-
pagnie d’assurance afin d’obtenir le rem-
boursement des frais engagés.
Cette déclaration doit contenir des infor-
mations précises : identité de la victime et
son numéro d’immatriculation, nom et co-
ordonnées de la personne ou de l’organisme
responsables de l’accident et, si possible,
ceux de sa compagnie d’assurance, date,
heure et lieu de l’accident… Il vous faut
aussi signaler si une procédure judiciaire est
en cours ou si une transaction avec le tiers
responsable ou sa compagnie d’assurances
peut être conclue.
Il faudra aussi envoyer à la CPR les
ordonnances du médecin et les feuilles de
soins, ainsi que tous les actes médicaux
consécutifs à l’accident.
�
Comment déclarer cet accident
Par téléphone au numéro vert 0800 699 744.
Par courrier : CPR, service P/SC RCT,
17, avenue Général-Leclerc, 13347 Marseille
Cedex 20.
Par mail : recours.contre.tiers@cprpsncf.fr
�
Préserver son équilibre
à Sanary-sur-Mer
Les cheminots retraités sont invités à
participer au séjour à thème organisé par le
département de l’Action sociale de la SNCF à
Sanary-sur-Mer, du 7 au 20 avril. Ils seront
accueillis à la résidence de séjour temporaire
Le Châtelet. Là, ils apprendront à cultiver un
art de vivre qui préserve leur équilibre dans
tous les domaines. Des conférences traiteront
de l’alimentation et des ateliers cuisine
permettront d’apprendre à composer de bons
menus, tandis que les séances de gym aideront
à se relaxer. Renseignements : Le Châtelet,
au 04 94 88 52 52, et auprès des services
de l’Action sociale de votre région.
incluse, 15 soins) de l’institut Hélianthal, à
Saint-Jean-de-Luz, avec accès au parcours
bio-marin et aux espaces Forme.
Le Forfait parcours bio-marin
et accès aux
espaces Forme : 137
, soit 5 demi-jour-
nées (sans soins) du lundi au vendredi. For-
fait navettes village/Hélianthal : 36
(à ré-
gler sur place).
Hébergement : village de vacances Haïça-
bia (du 21 mai au 1
octobre), à 20 min
en voiture de l’institut. 20 gîtes,
48 chambres, studios + un hébergement
handicapé en pension complète (1 chambre
de 3 personnes). Pension complète et loca-
tion.
Rens : 05 59 20 02 42.


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N
B
RETAGNE
S
UD
Accor Thalassa Quiberon propose
la cure
Remise en forme
(585
, 20 soins réparrtis
sur 5 demi-journées) et le forfait Décou-
verte 3 jours (324
). Visite médicale non
obligatoire (certificat médical d’aptitude à
la thalasso délivré au préalable). Du 7 au
28 mai, du 18 juin au 17 septembre, du
29 septembre au 15 octobre. Hébergement
au village de vacances Ar Marc’h Du, à 5 min
à pied de l’institut.
Rens. : 02 97 50 51 00
La cure Remise en forme
du centre Tha-
lasso Carnac comprend 20 soins (495
répartis sur 5 demi-journées, du lundi au
vendredi (4 soins/jour) avec accès libre au
Spa marin et à l’espace Fitness & Forme.
Certificat médical requis.
Le forfait Découverte
3 jours (338
9 soins répartis sur 3 demi-journées. Du
28 mai au 18 juin. Hébergement au village
de vacances, situé à 21 km de l’institut
(transfert village-thalasso inclus).


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N
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ATALOGNE
Le forfait Bien-être Senior
(124
) du centre
Calicéo, à Port-Vendres, dans les Pyrénées-
Orientales : 4 jours (2h30/jour) avec par-
cours aquatique, cours de gym et d’aqua-
gym, bains bouillonnants, jacuzzi,
hammam, sauna. Du 5 au 12 juin et du
28 août au 4 septembre. Hébergement en
pension complète au village de vacances La
Voile d’or (79 chambres dont 3 adaptées
pour les personnes handicapées). Transfert
village-centre inclus.
Rens. : 04 68 82 22 49
Anne JEANTET-LECLERC
Qu’est-ce qu’un accident
causé par tiers ?
L’accident causé par un tiers est un ac-
cident dont vous êtes la victime et qui a
été provoqué, volontairement ou non,
par une autre personne. Ce peut être un
particulier (on parle alors de personne
physique). Ce peut être aussi une entre-
prise ou une administration (on parle
alors de personne morale).
La responsabilité de cette personne
physique ou morale peut alors être
engagée.
Quelques exemples de tels accidents :
coups et blessures volontaires, morsure
d’un animal, accident de la circulation,
accident médical, scolaire, sportif…
KILUKILU- Fotolia.com
LVDR
VOTRE RETRAITE
Santé.
Choisir son médecin, c’est
important
Sécurité.
Deux jours pour confirmer son aptitude à conduire
L
a réforme de l’assurance maladie a in-
troduit la possibilité de désigner un mé-
decin traitant pour tout assuré et ayant
droit de 16 ans et plus qui réside en
France. Le médecin traitant est chargé de
coordonner l’ensemble des soins d’un
même patient et de centraliser les diffé-
rents comptes rendus médicaux des spé-
cialistes consultés.
La désignation du médecin
traitant est entrée en
vigueur le 1
er
juillet 2005.
Aujourd’hui, sur les 461 000
bénéficiaires de la Caisse de
16 ans et plus, 429 000 soit
88 %,ont déclaré un
médecin traitant.
Si vous n’avez pas
choisi de médecin
traitant ou si vous
consultez directement un mé-
decin sans passer au préalable
par votre médecin traitant
(hors exceptions), vous serez
considéré « hors parcours de soins » et les
La Caisse augmente
le montant de
la prestation spéciale
d’accompagnement
La prestation spéciale d’ac-
compagnement est une
prestation spécifique à la
CPR, versée aux affiliés et à
leurs ayants droit âgés de
60 ans et plus, bé-
néficiaires de
l’allocation personnalisée
d’autonomie. Elle intervient
dans deux domaines :
�
l’aide au maintien à domi-
cile : elle assure à hauteur de 4 500 euros
une participation aux services, aména-
gements ou équipements non pris en
charge au titre de l’assurance maladie,
de l’aide sociale départementale ou de
l’allocation personnalisée d’autonomie,
�
l’aide à l’admission dans un établisse-
ment : elle prend alors en charge une
partie des frais d’hébergement en mai-
son de retraite, en établissement pour
personnes âgées dépendantes ou en
unités de soins de longue durée. Depuis
le 1
janvier, le montant de la PSA pour
les personnes hébergées en établisse-
ment a été porté à 6 000 euros.


La Vie du Rail
– 9 mars 2011
remboursements des actes dispensés se-
ront minorés de 40 %. Les médecins pour-
ront également vous facturer des dépasse-
ments d’honoraires qui ne seront pas pris
en charge par la CPR.
C
onduire sa voiture est
un des moyens de conser-
ver son autonomie le plus
longtemps possible. Cela
est particulièrement vrai
pour ceux qui habitent
loin des centres-villes.
C’est pourquoi le centre
d’action sociale SNCF de
Rennes propose, les 24 et
25 mars, aux retraités
cheminots d’Ille-et-Vilaine
deux journées ayant pour
thème la conduite auto-
mobile.
Au programme de ce
stage, des cours de
conduite avec un moniteur auto-école, la révision du code de la
route, des tests de la vue, de l’audition et des réflexes, le constat
amiable, l’alcoolémie, la
prévention routière, la
place de la voiture dans la
vie de tous les jours.
Pour participer à ces jour-
nées, il faut être un re-
traité cheminot de plus de
70 ans ou son conjoint et
être titulaire du permis de
conduire. Ces journées
sont également ouvertes à
des personnes qui ne
conduisent plus depuis de
nombreuses années et
souhaitent reprendre
« l’entraînement ».
Prix : 20 euros.
Contact :
Centre d’action sociale SNCF, 23, square Louis-Armand,
35000 Rennes. Tél. : 02 99 29 13 36.
SAM Images – Fotolia.com
DR
ON SE DONNE DES NOUVELLES
A
Niort, le sous-sol de la mai-
son de Michel Memin est un vé-
ritable sanctuaire ferroviaire où
voisinent, méthodiquement dis-
posés, de multiples objets. Deux
pièces retiennent l’attention :
une Crampton au 1/25 entière-
ment façonnée à la main et un
appareil permettant de vérifier
le calage des tourillons moteurs
des roues d’accouplement des
locos vapeur. Une surprise at-
tend toutefois le visiteur lorsque
le maître des lieux découvre une
cloison de compartiment dissi-
mulant de multiples assem-
blages et connexions électriques.
Une fois rabattu, ce panneau
laisse apparaître un paysage sur
trois plans où évoluent des
trains.
« Un tel dispositif offre un
gain et évite la poussière »,
confie-
t-il, installé sur une banquette
de seconde classe. Au cœur de
ce décor trône le dépôt de Niort-
Romagné, aujourd’hui disparu,
avec sa rotonde, le bâtiment
abritant le service de la feuille,
le pont-tournant, la sablière, la
gare. Un environnement fidèle-
ment reproduit, qu’il connaît
bien pour y avoir exercé trente-
six ans
« Mon but était de faire re-
vivre ces installations naguère si
animées. Aujourd’hui un seul élé-
ment de la rotonde subsiste. C’est
dire la tristesse ressentie. »
Entré comme apprenti du ma-
tériel pendant la guerre, Michel
Memin est devenu roulant
comme son père. Chauffeur puis
mécanicien sur les locos vapeur
et enfin diéséliste, il se rappelle
encore l’émotion ressentie en tête
de son premier train, direction
Poitiers.
« L’établissement s’éten-
dait sur 25 ha, 1 500 wagons
étaient traités en vingt-quatre
heures au triage, qui ferma en
1950. L’ancien faisceau de récep-
tion a été utilisé lors de l’électrifi-
cation de Niort – La Rochelle. Un
projet de plateforme multimodale
donne l’espoir de voir ces lieux
s’animer de nouveau. »
Depuis sa retraite en 1978, il n’a
pas eu une minute à lui. Outre
la collection complète de
La Vie
du Rail
, il consulte régulière-
ment les archives. Il pourrait re-
later la riche histoire du chemin
de fer dans les Deux-Sèvres.
Mais sa collection la plus im-
pressionnante reste bien ce dé-
pôt où il a vécu son métier de
roulant,
« une vie professionnelle
inoubliable ».
François-Xavier POINT
Profil.
Michel Memin,
la mémoire du dépôt de Niort
Cette page vous est dédiée. Donnez-nous de vos nouvelles. Contact: 0149701240
VISDERECHERCHE
Un garnisseur
pour le Pacific Vapeur Club
Parmi les multiples travaux qui
attendent les bénévoles du
Pacific Vapeur Club à Sotteville,
il en est un qui relève d’un
métier très particulier, celui qui
consiste à refaire les sièges des
voitures anciennes. A la SNCF
on appelait garnisseur ceux qui
fabriquaient jadis les sièges des
trains. Leur savoir-faire est à
mi-chemin entre celui du
bourrelier, du sellier
ou du tapissier.
Ce sont de tels spécialistes que
recherche aujourd’hui
l’association normande.
En effet, outre la fameuse
Pacific 231G558 qui fait sa
fierté, elle possède des voitures
anciennes, certaines classées,
et doit régulièrement restaurer
leurs sièges.
Contact : 02 35 72 30 55.
pacific-vapeurclub@orange.fr
« Roulant, une vie professionnelle inoubliable »
11 500.
C’est le nombre de
personnes tuées chaque année
à la suite d’accidents
domestiques.
(Source: Institut de veille
sanitaire)
60 tonnes.
C’est la quantité
de stupéfiants saisis en 2010
pour une valeur globale de
560 millions d’euros.
(Source: ministère de
l’Intérieur)
56 milliards.
C’est, en
euros, les profits annoncés par
les plus grandes entreprises
françaises, membres du
CAC 40. En 2009, les 40 plus
grands groupes français
avaient enregistré un total de
46 milliards de bénéfices.
(Source:
Le Monde
3,3%.
C’est en moyenne
ce qu’ont rapporté en 2010
les contrats garantis
en euros des assurances vie.
(Source:
Le Monde
Ça se passera demain.
Une nuit très chouette
Savez-vous distinguer
la chouette hulotte de
la chevêche d’Athéna,
l’effraie des clochers
des hiboux moyen ou
grand duc ? Si oui,
c’est que la nature
vous intéresse. Sinon,
c’est que vous devez
apprendre à mieux la
connaître. Dans les
deux cas, ne manquez pas la 9
Nuit de la chouette, le 19 mars
2011. Quarante-six parcs naturels et quarante-cinq associations,
groupes et antennes de la Ligue pour la protection des oiseaux
vous invitent au cœur de la nuit à partir en compagnie de guides
naturalistes à la découverte des rapaces nocturnes, des dangers qui
les guettent et des gestes simples pour leur venir en aide. A ces
sorties s’ajouteront des conférences, projections de films, et
expositions.
Renseignements sur http://nuitdelachouette.lpo.fr
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
F;-X; P;
R. RIOLS
Une chevêchette.
mardi 15 mars
10.35
Complices, film
12.20
L’édition spéciale (C)
14.00
Gainsbourg (vie héroïque), film
16.10
Le petit
journal de la semaine (C)
16.30
Chloe, film
18.05
L’album de la semaine (C)
18.15
Les Simpson (C)
18.35
Une minute avant (C)
18.40
Le JT de Canal+ (C)
19.05
Le grand journal (C)
19.55
Les Guignols de l’info
(C)
20.10
Le grand journal, la suite, Divertissement (C)
Film de François Ozon
Avec
Louis-Ronan Choisy
Paul
•Pierre Louis-
Calixte
Serge
•Melvil Poupaud
Louis
Mousse et Louis sont jeunes, beaux et riches. Ils s’ai-
ment. Mais la drogue a envahi toute leur vie. Un jour,
Louis meurt d’une overdose. Mousse survit, mais elle
apprend qu’elle est enceinte.
22.15 La semaine du zapping
divertissement
22.35 Champions League / 23.15 Funny people /
1.35 Au voleur
/ 3.15 Rugby
sport
CANAL +
14.30
Allô docteurs, mag.
15.05
Au royaume des gué-
pards
15.30
Planète insolite, L’Allemagne, doc.
16.25
L’histoire des services secrets français
17.25
C l’info
17.30
C à dire ?!, mag.
17.45
C dans l’air, mag.
Documentaire
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, cent mille
molécules chimiques ont envahi l’environnement, et plus
particulièrement l’alimentation. Des résidus de pesticides
subsistent sur les fruits et légumes, des additifs alimen-
taires sont intégrés dans les plats préparés, et les embal-
lages en plastique sont monnaie courante.
22.35 Débat
22.55 Cut up
mag.
/ 23.40 Double jeu
téléfilm
1.10 Meurtre à Hollywood
FRANCE 5 ARTE
9.05
M6 Boutique
10.15
Wildfire, Nous deux, série
11.00
Desperate Housewives, 2 ép.
12.45
Le 12 45
13.00
Scènes de ménages
13.45
Premiers doutes,
téléfilm
15.40
Mary Higgins Clark: Ce que vivent les
roses, téléfilm
17.40
Un dîner presque parfait, mag.
18.45
100% Mag, mag.
19.40
Météo
19.45
Le 19 45
20.05
Scènes de ménages, série
Présenté par
Sandrine Corman, Jérôme Anthony
X Factor,
le plus grand concours de chant au monde,
arrive ce soir sur M6 ! Ouvertes, sans limite d’âge, aux
chanteurs solos comme aux groupes, les auditions de
X Factor
ont lieu en public, dans de véritables salles de
concert.
22.55 Nouveau look pour une nouvelle vie
1.00 Les 4400
série
/ 1.45 Les 4400
série
/ 2.30
Météo / 2.35 M6 Music
mag.
M6
20.50
Le refuge
20.40
Notre poison
quotidien
20.45
X Factor
19.00
Arte Journal
19.30
Globalmag, mag.
19.55
vie privée des crocodiles, doc.
ARTE
CANAL+
Séries
20h35
-NRJ12-
Pushing Daisies
-TEVA-
Drop dead diva.
/ 20h40
–
TF6-
Terminator : Les chroniques de Sarah Connor
-SERIE CLUB-
FBI : duo très spécial
/ 21h20
-NRJ12-
Pushing Daisies
-SERIE CLUB-
FBI : duo très spécial.
/ 21h30
-TF6-
Terminator : Les
chroniques de Sarah Connor.
/ 22h05
-SERIE CLUB-
FBI : duo très
spécial.
/ 22h15
-NRJ12-
Pushing Daisies
-TF6-
Terminator : Les
chroniques de Sarah Connor.
/ 22h55
-SERIE CLUB-
FBI : duo très
spécial.
/ 23h10
-NRJ12-
Stargate Universe.
/ 23h40
-SERIE CLUB-
New York 911.
/ 23h55
-NRJ12-
Stargate Universe.
/ 00h35
–
SERIE CLUB-
New York 911 .
/ 00h50
-NRJ12-
Stargate Universe.
/
01h10
-COMEDIE-
H .
/ 01h35
-COMEDIE-
H .
/ 02h15
-13e RUE-
P.J. .
/ 02h20
-RTL 9-
Brigade du crime.
/ 03h10
-RTL 9-
Brigade du
crime.
/ 04h00
-CANAL FAMILY-
Ma tribu.
/ 04h05
-RTL 9-
L’enquêteur.
/ 05h00
-RTL 9-
Charly la malice.
/ 05h30
-CANAL FAMILY-
Film
Doc.
Div.
Mieux connaître
les dinosaures
L’Association des cheminots
géologues amateurs invite ses
adhérents à découvrir, le 19 mars,
l’exposition sur les dinosaures au
Museum d’histoire naturelle.
Rendez-vous à 10h au jardin des
Plantes. Grande Galerie de
l’Evolution, 36, rue Geoffroy-
Saint-Hilaire 75005 Paris.
Contact :
Nicolas Martin,
0614 32 96 35.
Rando littéraire
au Père Lachaise
Les Cheminots randonneurs
invitent les marcheurs qui
sont aussi amateurs de poésie
à une promenade littéraire
dans les allées du cimetière du
Père Lachaise, le 20 mars, à
Paris. Ils rendront visite aux
célèbres écrivains, Jules Vallès,
Colette, Musset, Balzac, Nerval,
Apollinaire, et parleront
littérature. Le repas tiré du sac
sera pris au parc de la Réunion.
Guitare et mandoline
à Paris 17
L’Orchestre à plectre SNCF
de Paris souhaite développer
la pratique musicale dans
le 17
arrondissement de Paris.
Il inaugure, en mars, un cycle de
formation à l’intention de tous
ceux qui veulent s’initier
à la mandoline ou à la guitare ou
se perfectionner. Les cours ont
lieu le lundi de 17h à 19h pour
la mandoline, et le mardi de 16h
à 20h et le jeudi de 17h à 19h
pour la guitare. OAP, 190, avenue
de Clichy 75017 Paris.
Tél. : 06 79 71 48 25.
oap.sncf.de.paris.free.fr
Les randonneurs se dirigeront
ensuite vers le mur des Fédérés
et le mémorial de la Déportation.
Rendez-vous à 10h à l’entrée
principale (boulevard
Ménilmontant, métro Philippe-
Auguste).
Contact :
www.e-monsite.com/chrd75
Polar SNCF en gare de Bordeaux
e prix SNCF du Polar a fait halte le 19 février en gare de Bor-
deaux-Saint-Jean. Des hôtesses proposaient aux voyageurs de se dé-
guiser et de poser pour la photo. Ceux qui apportaient des livres
extraits de leur bibliothèque recevaient le livre d’un des finalistes
2011. Comédien, magicien, chanteuse ont animé cet espace où les
enfants pouvaient être maquillés. Avant la remise des prix en avril, à
Paris, les amateurs du genre sont invités le 30 mars à Bordeaux à
une soirée spéciale dans le cadre de l’Escale du Livre. En attendant,
on peut élire les deux meilleurs titres de l’année sur polar.sncf.com.
François-Xavier POINT
François-Xavier POINT
jeudi 17 mars
6.45
8.25
Téléshopping, mag.
9.15
Sœur
Thérèse.com
11.05
Las Vegas
12.00
Les douze coups
de midi
13.00
Le journal
13.55
Les feux de l’amour,
série
14.55
Une sœur dangereuse, téléfilm
16.45
Brothers & sisters
17.35
Ghost whisperer, Un don par-
tagé, série
18.25
Une famille en or, Jeu
19.05
Le juste
prix
19.55
Météo
20.00
Le journal
20.45
Section
de recherches
Dernier acte
Un soir d’été, un spectacle en costumes d’époque dans
l’enceinte d’un château médiéval. Solal, célèbre acteur de
théâtre, joue le rôle d’un condamné qui meurt brûlé vif
sur le bûcher. Soudain le dispositif s’enraye, les flammes
atteignent Solal, qui disparaît dans une violente explo-
sion…
Mauvaise rencontre, Mea culpa.
23.25 Esprits criminels
2 épisodes
1.10 Reportages / 2.20 Sept à huit / 3.20 Tous
ensemble / 4.05 Près de chez vous
TF1
9.10
Des jours et des vies
9.35
Amour, gloire et beauté,
série
9.55
C’est au programme
11.00
Motus
11.30
Les
Z’Amours
12.00
Tout le monde veut prendre sa place
13.00
Journal de 13 h
14.00
Toute une histoire
15.10
Comment ça va bien !, mag.
16.15
Le Renard
17.15
toutes lettres
17.55
On n’demande qu’à en rire
19.00
N’oubliez pas les paroles
20.00
Journal de 20 h
Présenté par
Guilaine Chenu, Françoise Joly
Les achats groupés :
Un dîner dans un restaurant chic
à prix cassés, une place de cinéma à un euro, un écran
plat ou un réfrigérateur à moins 40 %… Acheter autre-
ment et moins cher est devenue la priorité des consom-
mateurs.
Pakistan, l’arme du blasphème
FRANCE 2
8.50
Des histoires et des vies
9.50
Avocats et associés
10.50
Midi en France
11.45
Le 12/13
13.00
Midi en
France
13.45
En course sur France 3
14.00
Keno, Jeu
14.05
Inspecteur Derrick
15.05
Bien dégagé derrière
les oreilles
16.40
Slam, Jeu
17.20
Des chiffres et des
lettres, Jeu
17.55
Questions pour un champion
18.40
Le 19/20
20.00
Tout le sport
20.10
Plus belle la vie
Film d’action de
Chuck Russell
Avec
Arnold Schwarzenegger • James Caan •
Vanessa Williams.
Agent du Programme de Protection des Témoins, John
Kruger, surnommé “L’Effaceur” grâce à son courage, doit
protéger Lee Cullen, employée de la Cyrez, société d’ar-
mement américaine…
FRANCE 3
Série
20.45
Envoyé spécial
Mag.
20.35
L’effaceur
FR2
FR3
Sport
15h45
-SPORT +-
Golf européen en direct.
/ 16h00
-CANAL SPORT-
Sports de glisse : Winter X Games en direct.
/ 18h50
-CANAL SPORT-
Football : Europa League en direct.
/ 19h00
-SPORT +-
Football
en direct.
/ 20h55
-CANAL SPORT-
Football : Europa League en direct
/ 21h00
-SPORT +-
Football en direct .
Cinéma
20h45
CANAL DECALE
Le mac –
CANAL CINEMA
Shutter island
– 22h15
CINE EMOTION
The duchess –
TPS STAR
Les 3 royaumes
– 22h25
CINE
FRISSON
Martyrs
– 22h30
PARIS PREMIERE
Alamo
– 22h35
CINE STAR
clan des Siciliens –
CANAL FAMILY
Le grand jour
– 22h55
CANAL CINEMA
Les anges de Boston
– 23h05
CINE PREMIER
Le jour où la Terre s’ar-
rêta
– 00h05
CINE EMOTION
Baby blues
– 00h35
CINE STAR
L’honneur
d’un capitaine –
TPS STAR
La regate
– 00h40
CANAL CINEMA
Just ano-
22.45 Infrarouge
0.30 Journal de la nuit / 0.45 Infrarouge / 1.50
Faites entrer l’accusé
22.30 Soir 3
22.55 Ce soir (ou jamais !) / 0.20 Tout le sport /
0.25 Le match des experts
Sélection câble et satellite
Film
LVDR
+
LA VIE DES ASSOCIATIONS
L’Ancac de Brive
élit son bureau
L’assemblée générale de la
section de Corrèze de l’Asso-
ciation nationale des chemi-
nots anciens combattants
s’est réunie le 20 février, salle
du PRCI de la gare de Brive-
la-Gaillarde. Jean Borie était
entouré de jean Fournier, ex-
président de l’Ancac. Après
lecture du bilan des activités
et de la trésorerie, s’est
déroulée l’élection du bureau
de l’année 2001 : Pierre Del-
mond, président d’honneur,
Jean Borie, président, Albert
Derre, vice-président, André
Gimaze, secrétaire général
technique, Henri Mathieu, tré-
sorier. A l’issue de la réunion,
une gerbe a été déposée
devant la stèle de la gare en
présence de sept adhérents
de Limoges.
B. C.
Ancac
de Bergerac prépare son 80
anniversaire
L
a section de Bergerac de l
’As-
sociation nationale des chemi-
nots anciens combattants
– une
centaine d’adhérents, dont des
jeunes sensibles au travail de
mémoire – s’est réunie en as-
semblée générale le 12 février.
« Malgré la loi du 14 avril 1924,
explique Jean Fournier, le pré-
sident,
les appelés du contingent
maintenus sous les drapeaux en
Algérie – jusqu’à trois ans pour
certains – n’ont pas droit aux bo-
nifications. Or, le déroulement de
carrière des cheminots a été blo-
qué. Un recours en Conseil d’Etat
a pour but de faire respecter cette
loi. »
Le 80
anniversaire de l’Ancac a
été évoqué.
« L’Ancac a été créée
le 24 novembre 1931 à Paris par
les membres de l’Association ré-
publicaine des anciens combat-
tants. Nous demandons que soit
célébré le 27 mai, ce jour de 1943
où le Conseil national de la Résis-
tance s’est réuni sous la présidence
de Jean Moulin. »
Le congrès dé-
partemental de l’Ancac a lieu le
11 mars à Périgueux, et le
congrès national du 24 au
27 mai à Cherbourg.
Bernard CHUBILLEAU
Jean Fournier, président national honoraire
Jean Fournier a toujours défendu les
cheminots anciens combattants. Di-
rigeant de l’Ancac à Bergerac depuis
1964 et membre du bureau national
en 1971, il a été vice-président puis
président national de 2003 à 2009.
A près de 79 ans, il est président na-
tional honoraire, membre de la com-
mission permanente des affaires in-
ternationales de l’Union française des
associations des anciens combat-
tants. Il assiste à toutes les réunions
de la Fédération internationale de la
Résistance (FIR). Il est aussi membre
de la Fédération mondiale des an-
ciens combattants.
jeudi 17 mars
10.40
Engrenage mortel
12.20
L’édition spéciale (C)
14.00
Le refuge, film
15.25
Megalopolis avec
Alexandra Leroux
16.20
L’infiltré
18.05
L’album de la
semaine (C)
18.15
Les Simpson (C)
18.40
Le JT de
Canal+ (C)
19.05
Le grand journal (C)
19.55
Les
Guignols de l’info, Divertissement (C)
20.10
Le grand
journal, la suite, Divertissement (C)
Horus
Série de James Manos Jr
Dexter décide de mettre la main sur Bruner, l’ex-codétenu
de Boyd Fowler, qui pourrait bien être l’un des agresseurs
de Lumen, et de l’éliminer avant qu’elle ne s’en charge
elle-même. Il renonce au dernier moment s’apercevant
qu’il porte un bracelet électronique.
21.40 Dexter
Cloisonnement
22.30 United states of Tara
3 ép.
/23.45 Mon
oncle Charlie
2 ép.
/0.30 Le journal du hard
CANAL +
14.30
Allô docteurs, mag.
15.05
Paradis aquatiques,
doc.
15.35
Civilisations disparues
16.25
La face cachée
des guides de voyages, Le doc du dimanche, doc.
17.25
C l’info
17.30
C à dire ?!
17.45
C dans l’air, mag.
Partie 1/2
Avec
Luigi Lo Cascio • Valerio Binasco.
1828. Dans le sud de l’Italie, la révolte gronde contre la
monarchie piémontaise. Trois adolescents, Domenico et
Angelo, issus de la noblesse, et Salvatore, un fils de pay-
san, jurent de consacrer leur vie à la cause de l’indépen-
dance et de la nation italiennes.
22.15 Nabucco
opéra
0.20 Tracks
mag.
/1.15 Lagerfeld confidentiel
doc.
/2.45 Yves Saint Laurent
doc.
FRANCE 5 ARTE
8.20
M6 Kid
9.05
M6 Boutique
10.15
Wildfire
11.00
Desperate Housewives, 2 ép.
12.45
Le 12 45
13.00
Scènes de ménages, série
13.40
Météo
13.45
Une pour
toutes, toutes pour une !, téléfilm
15.50
Le crash du vol
323, téléfilm
17.40
Un dîner presque parfait, mag.
18.45
100% Mag, mag.
19.40
Météo
19.45
Le 19 45
20.05
Scènes de ménages, série
3 épisodes
Alors qu’une maison d’édition réclame l’ouvrage commandé
sur son travail aussi médiatique que controversé, le docteur
Lighman infiltre une bande de braqueurs de banque. Son but
est d’empêcher ces hommes de mettre leur plan à exécution,
mais leur détermination est sans faille, et surtout, l’un d’eux
est motivé par un désir de vengeance très personnel.
0.00 Profilers, la traque du mensonge
1.00 Life on Mars
série
/1.45 Life on Mars
série
M6
20.50
Dexter
20.40
Frères d’Italie
20.45
Lie to me
19.00
Arte Journal
19.30
Cuisines des terroirs, Le
Latium, doc.
19.55
Le jaguar, chasseur solitaire, doc.
19.55
Le jaguar, chasseur solitaire, doc.
ARTE
CANAL+
ther love story
– 00h50
CINE PREMIER
Le grand alibi
– 00h55
CANAL
SPORT
Envoyés très spéciaux
– 01h35
CANAL DECALE
Les herbes
folles –
CINE EMOTION
La fille de tes rêves
– 01h55
CANAL FAMILY
Le bel
âge –
CINE FRISSON
Twin Peaks.
Séries
20h20
-CANAL DECALE-
Têtes à claques
-France 4-
Samantha Oups !.
/
20h40
-SERIE CLUB-
FBI : duo très spécial.
/ 21h30
-SERIE CLUB-
FBI :
duo très spécial.
/ 22h10
-SERIE CLUB-
FBI : duo très spécial.
/
22h30
-CANAL DECALE-
Dexter .
/ 22h55
-SERIE CLUB-
FBI : duo très
spécial.
/ 23h20
-CANAL DECALE-
Dexter.
/ 23h40
-SERIE CLUB-
The
cleaner.
/ 00h25
-SERIE CLUB-
The cleaner.
/ 00h45
-RTL 9-
Fantasmes.
/ 01h10
-COMEDIE-
H .
/ 01h40
-COMEDIE-
H .
/ 01h50
–
13e RUE-
P.J.
/ 02h20
-RTL 9-
Brigade du crime.
/ 03h15
-RTL 9-
Brigade du crime.
/ 04h05
-RTL 9-
L’enquêteur.
/ 04h25
-CANAL
FAMILY-
Ma tribu.
/ 05h00
-RTL 9-
Charly la malice.
/ 05h45
-13e RUE-
Boulevard du palais.
Série
Téléfilm
Série
CARNET
ILS NOUS ONT QUITTÉS
La Vie du Rail adresse ses sincères condoléances aux familles et aux amis des agents disparus.
Gilbert Waroquier
est décédé le
30 octobre 2010
dans sa 86
année. Il entre
à la SNCF en
1945, en qualité
d’auxiliaire cantonnier, à
l’équipement Voie et Bâtiment
d’Aulnoye-Aymerie. Il n’a jamais
quitté cette résidence et c’est
avec le grade d’agent d’entretien
qualifié qu’il est parti à
la retraite en 1980.
Ses funérailles ont eu lieu au
cimetière de Maroilles.
J. Casier
Jean-Luc Dalla Torre
est décédé le
11 novembre
2010 à l’âge de
57 ans. De 1974
à 1998, il a
été agent
d’exploitation en gare de Dijon-
Ville. Promu cadre de la
surveillance générale hors classe
en 1999, il rejoint Besançon
en 2007. Il a terminé sa carrière
en 2008, avec le grade de chef
de la surveillance principal.
Ses obsèques religieuses ont
été célébrées en l’église de
Longecourt-en-Plaine, son village
natal.
Jean-Pierre Denoyelle
est décédé le
22 novembre
2010 à l’âge de
72 ans.
Auxiliaire
facteur homme
d’équipe à Abancourt en 1955, il a
connu ensuite les résidences de
Sainte-Segrée, Abancourt,
Grandvilliers, Vieux-Rouen, Le
Tréport, puis retrouve Abancourt
en 1987. Il est parti à la retraite
en 1993, avec le grade de chef de
secteur mouvement. Il a été
délégué du personnel, membre
du CHSCT, conseiller prud’homal
et membre actif à la Mutuelle des
cheminots Picards. Ses obsèques
religieuses ont eu lieu à Saint-
Raphaël.
Charles Lhumeau
est décédé le 28 décembre 2010
à l’âge de 60 ans. Il a été admis
à la SNCF en 1975, au service
Transport sur la région de Dijon
et est parti à la retraite en
2005. Charles Lhumeau était
secrétaire du bureau de
l’Association Labergement
animation.
Un recueillement a eu lieu à la
chambre mortuaire de l’hôpital
Jean Minjoz de Besançon.
Jacques Tissot
Guy Senac
est décèdé le 15 janvier dans
sa 91
année. Ingénieur en chef
honoraire, il a effectué de
nombreuses études sur
le turbotrain, qui ont servi
par la suite à l’élaboration du
TGV. Ses obsèques ont été
célébrées en l’église Saint-
Léonard à Croissy-sur-Seine.
vendredi 18 mars
6.45
8.25
Téléshopping, mag.
9.15
Sœur
Thérèse.com
11.05
Las Vegas
12.00
Les douze coups
de midi
13.00
Le journal
13.55
Les feux de l’amour,
série
14.55
La dernière chance, téléfilm
16.45
Brothers
& sisters
17.35
Ghost whisperer
18.25
Une famille en
or, Jeu
19.05
Le juste prix
20.00
Le journal
20.38
Courses et paris du jour
20.40
Météo
20.43
Trafic info
20.45
Carré ViiiP
Présenté par
Elsa Fayer
À l’occasion des dix ans de la télé-réalité en France, TF1
et Endemol France vous proposent un nouvel évènement
de télé-réalité original et de création française:
Carré
Viiip. Carré Viiip
, c’est la rencontre de deux générations:
une génération des héros les plus emblématiques de la
télé-réalité qui sont passés de l’ombre à la lumière.
23.15 C’est quoi l’amour ?
mag.
1.30 Confessions intimes/ 3.25 Trafic info/
3.30 50 mn inside/ 4.25 Musique
spectacle
TF1
9.35
Amour, gloire et beauté
10.00
C’est au programme
11.00
Motus
11.30
Les Z’Amours, Jeu
12.00
Tout le
monde veut prendre sa place
13.00
Journal de 13 h
14.00
Toute une histoire, mag.
15.10
Comment ça va
bien !, mag.
16.15
Le Renard
17.15
En toutes lettres
17.55
On n’demande qu’à en rire
18.55
N’oubliez pas
les paroles
19.55
Météo
20.00
Journal de 20 h
Téléfilm d’Élisabeth Rappeneau
Avec
François Morel
Au petit matin, sur une esplanade, au pied d’un HLM.
Une balayeuse à moteur se rapproche par cercles
concentriques d’une de ces statues égyptiennes factices,
habitées par un mime qui se tient coi dans sa housse en
acrylique doré.
FRANCE 2
8.50
Des histoires et des vies, doc.
9.50
Avocats et
associés
10.50
Midi en France
11.45
Le 12/13
13.00
Midi en France
13.45
En course sur France 3
14.00
Keno
14.05
Inspecteur Derrick
14.55
Inspecteur Frost
16.40
Slam
17.25
Des chiffres et des lettres
18.00
Questions pour un champion
18.40
Le 19/20
20.00
Tout le sport, mag.
20.10
Plus belle la vie, série
Magazine présenté par
Georges Pernoud
Ce soir,
Thalassa
a les dents longues ! Le magazine de la
mer nous entraîne à Cuba, au fin fond de la baie des
Cochons, à la poursuite d’un animal redouté: le
crocodile cubain. Une espèce qui peut atteindre
5 mètres de long et qui n’existe que dans ces marais
isolés… une espèce pourtant menacée.
FRANCE 3
Div.
20.35
Gérald K. Gérald
Téléfilm
20.35
Thalassa
FR2
FR3
10.25
Brothers, film
12.20
L’édition spéciale (C)
14.00
Shutter island, film
16.15
Karine Viard et Gilles Lelouch,
la rencontre
16.35
Complices, film
18.05
L’album de la
semaine (C)
18.15
Les Simpson (C)
18.40
Le JT de
Canal+ (C)
19.05
Le grand journal (C)
19.55
Les
Guignols de l’info (C)
20.10
Le grand journal,
la suite (C)
Film de Tim Burton
Alice, désormais âgée de 19 ans, retourne dans le monde
fantastique qu’elle a découvert quand elle était enfant. Elle
y retrouve ses amis et le Chapelier Fou. Elle s’embarque
alors dans une aventure extraordinaire où elle accomplira
son destin: mettre fin au règne de terreur de la Reine
Rouge…
22.35 Le mac
0.05 I love you Phillip Morris/ 1.40 Basket
américain/ 4.35 Le journal des jeux vidéo
(C) div.
CANAL +
14.30
Allo docteurs
15.00
Empreintes, Jacques
Dutronc
15.05
Paradis aquatiques
15.35
Superstructures
16.30
Verdict, L’affaire Maurice
17.25
C l’info
17.30
C à dire ?!
17.45
C dans l’air, mag.
Partie 2/2
Téléfilm de Mario Martone
Années 1850. Suite et fin de la tragédie de Domenico et
d’Angelo pris dans les remous de la difficile unification
italienne: tandis que Domenico achève de purger sa
peine de prison, Angelo s’est réfugié à Londres auprès
d’autres exilés.
22.25 Biométisme-3
Naturellement génial !
23.15 Contaminés/ 0.30 Sous les ordures, la
Chine/ 0.55 Court-Circuit
mag.
FRANCE 5 ARTE
9.05
M6 Boutique, mag.
10.10
Météo
10.15
Wildfire
11.00
Desperate Housewives, 2 ép.
12.45
Le 12 45
13.00
Scènes de ménages, série
13.40
Météo
13.45
La mort sous silence, téléfilm
15.45
Scandale à
Hollywood, téléfilm
17.40
Un dîner presque parfait, mag.
18.45
100% Mag, mag.
19.40
Météo
19.45
Le 19 45
20.05
Scènes de ménages, série
L’année de l’espion
Avec
Mark Harmon
En enquêtant sur la mort d’un marine travaillant pour les
services de renseignement, l’agent Dinozzo part à la
recherche de la sœur de la victime, une célèbre reporter
qui le fascine. Pendant ce temps, maître Allison Hart est
intégrée au NCIS comme employée temporaire.
21.35 NCIS: enquêtes spéciales
3 ép.
0.00 Nip/Tuck/ 0.50 Earl/ 1.20 Earl/ 1.45
Météo/ 1.50 M6 Music
mag.
M6
20.50
Alice au pays
des merveilles
20.40
Frères d’Italie
20.45
NCIS : enquêtes
spéciales
19.00
Arte Journal
19.30
Globalmag, mag.
19.55
Angélique et les gorilles, doc.
ARTE
CANAL+
Sport
13h30
-CANAL SPORT-
Sports de glisse : Winter X Games en direct.
/
16h00
-SPORT +-
Golf européen en direct
-CANAL SPORT-
Sports de
glisse : Winter X Games en direct.
/ 18h00
-CANAL SPORT-
Sports
de glisse : Winter X Games en direct.
/ 20h30
-SPORT +-
Basket ball
en direct .
Cinéma
20h40
TPS STAR
Hancock
– 20h45
CANAL CINEMA
Les chats persans.
– 21h00
CINE PREMIER
Spy game –
CINE STAR
Notre histoire
– 22h00
RTL 9
Les huit diagrammes de Wu-Lang
– 22h10
TPS STAR
Desperado 2 : il était une fois au Mexique
– 22h50
CINE STAR
Tango
et cash
– 22h55
CANAL DECALE
Alice au pays des merveilles
– 23h05
CINE PREMIER
L’incroyable Hulk –
CINE FRISSON
K2
– 23h10
CINE EMO-
TION
Le journal de Bridget Jones
– 23h20
CANAL CINEMA
Téhéran
–
23h45
CANAL FAMILY
Les trois mousquetaires –
TF6
L’impasse
–
00h15
CANAL SPORT
Midnight meat train
– 00h35
CINE STAR
Coup de
torchon
– 00h40
CANAL DECALE
Mr Nobody
– 00h45
CINE EMOTION
Magnolia
– 00h55
CINE FRISSON
Cold prey.
Séries
20h35
-NRJ12-
Stargate Universe.
/ 20h40
-SERIE CLUB-
Stargate
Atlantis.
/ 20h45
-CANAL DECALE-
Dexter.
/ 20h55
-CANAL J-
Aux
portes du cauchemar.
/ 21h15
-SERIE CLUB-
Stargate Atlantis.
/
21h20
-NRJ12-
Stargate Universe.
/ 21h25
-TF6-
Kyle XY.
/ 21h40
–
COMEDIE-
United colors of Jean-Luc.
/ 22h05
-SERIE CLUB-
Stargate
Atlantis .
/ 22h10
-NRJ12-
Stargate Universe
-COMEDIE-
United
colors of Jean-Luc
-CANAL J-
Léonard.
/ 22h35
-COMEDIE-
United
colors of Jean-Luc .
/ 23h10
-NRJ12-
X-Files : aux frontières du réel.
/ 23h25
-COMEDIE-
Mon oncle Charlie.
/ 00h00
-NRJ12-
X-Files : aux
frontières du réel
-13e RUE-
New York District.
/ 00h15
-COMEDIE-
Mon oncle Charlie.
/ 00h25
-France 4-
Doctor Who.
22.10 Avocats et associés
Abus dangereux
23.05 Semaine critique !/ 0.25 Journal de la
nuit/ 0.45 Taratata/ 2.15 Toute une histoire
22.30 Soir 3
22.55 Vie privée vie publique, l’hebdo/ 0.05
Tout le sport/ 0.15 Toute la musique…
Sélection câble et satellite
Mag.
Film
Téléfilm
Série
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
�
Carnet,
départs en retraite, médailles, citations
LES JONCHEROLLES
Michel Gruaz
Après vingt-trois ans
passés au dépôt de La
Chapelle et quatorze aux
ateliers des Joncherolles,
Michel Gruaz a terminé
sa carrière le 7 janvier. Il
était entré à la SNCF
comme électricien et en
est parti avec le grade
d’agent technique de
maintenance hors classe.
Yves Praturlon
LILLE
Marie-Paule Longelin
Marie-
Paule
Longe-
pris sa
retraite
au mois de janvier.
Elle a effectué ses débuts
à la SNCF comme em-
ployée de bureau au
service du Personnel de
Lille.
Après avoir réussi l’exa-
men de chef de groupe,
elle entame en 1990 une
reconversion et rejoint le
service Voies et Bâti-
ments. Elle y a en charge
les passages à niveau, et
elle défend âprement les
principes de sécurité
ferroviaire et routière
vis-à-vis des instances
administratives et poli-
tiques.
Elle a terminé sa carrière
comme cadre au pôle
régional ingénierie
Manche/Nord-Pas-de-
Calais où elle s’est occu-
pée de l’activité gabarits.
Marie-Paule Longelin va
consacrer une partie de
son temps libre à des ac-
tivités bénévoles au sein
de diverses associations.
Willy Deleu
SAINT-ETIENNE
Jean-Guy Dubessay
Le 6 janvier, Jean-Guy
Dubessay, chef de trac-
tion ligne hors classe, a
fêté son départ à la
retraite.
Il est entré au chemin de
fer en 1977 comme at-
taché groupe 4 au dépôt
de Lyon-Mouche.
Devenu conducteur de
route en 1980, il est
muté au dépôt de
Chalon-sur-Saône. Du-
rant cette affectation, il
réussit avec succès l’exa-
men de chef de traction
en 1982.
Promu chef de traction
principal en 1990, il re-
joint l’établissement trac-
tion de Saint-Etienne en
1991. Jean-Guy Dubes-
say quitte cette dernière
résidence pour partir à
la retraite.
Alain Palka
MONTROUGE
Jacky Le Hyaric
Jacky Le Hyaric a fêté
son départ à la retraite le
20 janvier.
Il entre au groupe tour-
nant du dépôt de Mon-
trouge
comme
ouvrier
profes-
sionnel,
avec un
CAP électrotechnique, en
1975. En 1995 il est
nommé agent technique
du matériel, et agent
technique maîtrise maté-
riel en 2003. A partir de
2008, il assure les fonc-
tions de répartiteur.
Pierre Bichot
Pour la rubrique Carnet
jose.delattre@laviedurail.com
01 49 70 12 45
LIMOGES
(Etablissement Infra Circulation Limousin)
Fabrice Le Guilloux, directeur de l’Etablissement Infra Circulation Limousin, a procédé
le 21 janvier à une cérémonie de remise de médailles du travail.
Ont reçu la médaille d’argent :
Franck Boisseau, P. Charles Faugeron, Emmanuel
Guenais, Michel Leblanc.
Ont reçu la médaille de vermeil :
Jean-Michel Allanic, Alain Aubecq, Gérard Beau-
bier, Gilbert Beaubier, Jean-Claude Beffara, Jean-Michel Borie, Bernard Boussange,
Philippe Brigand, Christian Carenton, Jean-Marc Conjaud, Edouard Da Silva, Jean-
Claude Fel, Michel Feurprier, Jean-Philippe Koehl, Thierry Lacore, Serge Lepage,
Dominique Louis, Louis Mathieu, Pierre Michel, Ludovic Morand, Patrice Moulinoux,
Joel Nequier, Patrick Pelletier, Bernard Sanchez, Jean-Pierre Soustre, Pierre Theolas,
Jean-Michel Vallet.
Ont reçu la médaille d’or :
Jacques Cagna, Robert Desplaces, Jean-Claude Gala-
teau, Dominique Grandcolin, Michel Quenel, Patrick Treillard, Robert Winckell.
Pierre Fourchaud
�Les cheminots à l’honneur
Citations
Stéphane Pierry
Michel Vidal
, respectivement
agent mouvement de classe C et chef secteur mouve-
ment à l’EIV Auvergne-Nivernais, ont été cités à l’ordre
de la région.
« Le 30 novembre 2010, par une applica-
tion judicieuse des procédures de sécurité et leur
esprit d’initiative, ils ont contribué à éviter une collision
grave entre le train de voyageurs 15942 et un engin de
déneigement arrêté sur le PN 93 à Chanteuges. »
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histoire du rail normand, des origines
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1872 au départ de la capitale vers cette
vaste et riche province. Ces premières
liaisons radiales furent reliées entre elles
par plusieurs transversales, puis
complétées par des liaisons secondaires.
Au début du XX
siècle, la Normandie
était donc dotée d’un ensemble de lignes
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La Vie du Rail
– 9 mars 2011
�
routière. Pour la première fois
à Melbourne, les transports
publics et la gestion des routes
sont réunis dans un même
portefeuille ministériel. Mais
Melbourne ne semble pas en-
core avoir de véritable poli-
tique de mobilité. Ici, pas
question, par exemple, de s’at-
taquer de manière frontale à la
congestion routière. La simple
mise en place d’une autorité
réunissant les transports de
Melbourne est toujours à l’état
de projet. Et la seule carte du
réseau intégrant tous les trans-
ports de Melbourne… a été
bricolée par Keolis à son arri-
vée! Conséquence de ce cloi-
sonnement: les trains, la
route, les bus et le vélo ont
chacun une politique isolée, et
à peine 5,5% des voyages
sont intermodaux. Les deux
nouveaux opérateurs, KDR
(Keolis 51% et son partenaire
industriel australien Downer
Rail 49%) pour Yarra Trams
et MTR pour les trains, qui
souhaitent enrayer ce mode de
fonctionnement, ont entrepris
de nouer des relations bilaté-
rales. Mais le chemin est en-
core long. À la rentrée 2010,
MTR a lancé une nouvelle
grille horaire sans penser pré-
venir son partenaire, unique-
ment alerté par la surcharge
inhabituelle sur certaines de
ses lignes.
Ce qui cloche également à
Melbourne, c’est qu’à force
d’être là, le tram a fini par faire
partie du paysage, un peu à
l’image de cette ligne gratuite
(circle line) qui permet aux
touristes de faire le tour de la
ville. Un héritage sympa-
thique, que l’on a quelques
difficultés à remettre en ques-
tion ou à concevoir comme le
possible vecteur d’un nouveau
service de mobilité. Le nouvel
exploitant de Yarra Trams en-
tend enrayer cette tendance.
«Avant, on poussait des trams
sur les rails en se disant: “Si les
gens veulent bien monter dedans,
c’est tant mieux.” Ce que nous
souhaitons apporter est notre vi-
sion sociodémographique par
rapport au réseau»
, indique
Michel Masson, le directeur
général de Yarra Trams. Le
contrat passé entre l’AOT et
KDR porte sur une durée de
quinze ans (4,5milliards d’eu-
ros de chiffre d’affaires) avec
une clause de revoyure au
bout de huit ans. L’exploitant
sera notamment jugé sur la
ponctualité de ses tramways,
la disponibilité du matériel
roulant, la satisfaction des usa-
gers. Dès son arrivée, la nou-
velle équipe s’est employée à
travailler sur la qualité de l’of-
Swanson Street, l’autoroute à trams
Cette artère, la plus circulée de Melbourne, voit passer un tram toutes les 50 secondes.
�
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
TRANSPORTS URBAINS
Danger sur les quais
L’étroitesse et la vétusté des quais rendent l’accès au tram
dangereux. Cet employé de Yarra Trams a pour mission
de faciliter les échanges en station.
Flinders Street Station, cœur du réseau
Cette gare en briques jaunes est un symbole de la ville et l’une
des plaques tournantes des transports.
fre avec une importante ré-
forme interne: l’intégration
des trois composantes du ré-
seau, jusque-là disjointes car
gérées par trois prestataires dif-
férents, l’exploitation (Trans-
dev), l’infrastructure (United)
et le matériel roulant (Sie-
mens).
«Les bénéfices de ce re-
groupement ont été bien plus ra-
pides que nous l’avions espéré»
assure Michel Masson. Sans at-
tendre les demandes de son
AOT, le nouvel exploitant a
décidé de proposer des ser-
vices qui correspondent aux
besoins de mobilité de la ville.
«Melbourne étant une ville de
grands événements sociocultu-
rels, nous sommes allés à leur
rencontre»
, explique Michel
Masson. Un partenariat avec
Tennis Australia a permis, par
exemple, de transporter 31%
du nombre total des specta-
teurs de l’Open d’Australie,
par le biais de 7000 tramways
gratuits. Autre besoin identi-
fié, celui de liaisons orbitales,
la desserte de l’ouest de l’ag-
glo étant insuffisante. KDR a
donc proposé une nouvelle
ligne (la 31) «déjeuner en
ville» reliant le nouveau quar-
tier des Doklands (une sorte
de «La Défense en bord de
mer») au centre-ville entre
11h30 et 14h30.
Tout ceci n’était qu’une entrée
en matière pour le nouvel ex-
ploitant. La prochaine étape est
de mettre en place des «pre-
mium routes», sortes de lianes
australiennes où le tramway
apportera un haut niveau de
service. Au programme, nou-
veaux matériels (une livraison
de 50 Bombardier Flexity est
attendue à partir d’octobre
2012), priorité aux feux (les
tramways de Melbourne pas-
sent aujourd’hui 17% de leur
temps arrêtés aux feux), acces-
sibilité des stations, diminu-
tion du nombre d’arrêts et
meilleure information des pas-
sagers. Keolis a déjà dessiné la
nouvelle carte d’un réseau
mieux hiérarchisé autour de
quelques lignes fortes.
«Ce que
nous proposons est une reconfi-
guration de réseau qui se rap-
proche de ce que l’on fait habi-
tuellement dans le bus»
, indique
Clément Michel. Evidemment,
il faudra obtenir le blanc-seing
de l’État de Victoria.
Guillaume LEBORGNE
Melbourne compte 4millions d’habitants et en
gagne 80000 de plus chaque année. Selon cer-
taines projections, en terme de population, la ville
pourrait dépasser Sydney en 2015 et compter
5millions d’habitants en 2022. Conséquence, la
fréquentation des transports publics explose
(+12% en 2008/2009, plus 50% en 10 ans) en
même temps que la congestion routière augmente.
« La solution est de développer des villes périphé-
riques comme Doncaster ou Rover pour que Mel-
bourne reste une ville où il fait bon vivre»
, estime le
ministre des Transports et des Routes, Terry Mul-
der. 40000ha de terres agricoles ont récemment
été rendues constructibles autour de Melbourne
(cette opération porte la densité du Grand Mel-
bourne à 1200 habitants par km
), la plupart
n’étant pas desservies par les transports en com-
mun.
«Cela ne va pas dans le sens du dévelop-
pement durable
, estime l’urbaniste Rob Adams,
on ferait mieux de construire le long des axes de
tramways. En augmentant la hauteur des immeu-
bles dans ces quartiers-là, on pourrait sans pro-
blème absorber la hausse de population.»
G. L.
Melbourne entre étalement urbain et densification
La Vie du Rail
– 9 mars 2011
SPORT
’Association des Clubs de
skieurs cheminots français
(ACSCF) a organisé du 31jan-
vier au 6février, à Courchevel,
la 9
édition de la semaine de
course de ski alpin en entre-
prise.
Vivre au rythme d’une semaine
de courses, goûter les mo-
ments intenses du dépasse-
ment de soi, apprendre de ses
erreurs et profiter de l’expé-
rience des autres, c’est ce que
propose l’ACSCF.L’organisa-
tion de cette semaine est
confiée à tour de rôle à l’un des
clubs cheminots composant
l’Association.
«L’intérêt est de
regrouper les moyens humains
dont disposent les clubs au profit
de ceux qui en ont le moins. C’est
aussi une bonne école pour celui,
le plus modeste qu’il soit, qui sou-
haite se lancer dans l’organisa-
tion de compétition. L’expérience,
toujours avec une démarche de
formation, est ainsi mise en com-
mun»
stipule Denis Leboul-
lenger, l’un des artisans de cette
initiative qui, avec l’ACSCF,
permet aux cheminots de par-
ticiper à des courses à prix rai-
sonnables. En effet, l’organisa-
tion d’une épreuve (slalom ou
géant) est régie par des règles
strictes et cela demande un sa-
voir-faire et une diversité de
compétences (traceurs, juges,
chronométreurs…) qui ne
s’improvisent pas et une qua-
rantaine de bénévoles sont né-
cessaires.
«Pour l’hébergement, nous nous
appuyons sur les chalets que plu-
sieurs clubs possèdent à Cour-
chevel, ce qui permet de propo-
ser un coût de participation
abordable»
complète Denis Le-
boullenger. Au rythme d’une
course par jour, la difficulté
pour de nombreux partici-
pants est d’associer disponibi-
lité professionnelle et passion
sportive. C’est pour cela que
les organisateurs laissent la
possibilité à chacun de parti-
ciper aux épreuves de leur
choix.
Les 9 épreuves (5 géants et
4slaloms) du programme ont
reçu l’homologation de la Fé-
dération française de ski. À la
dizaine de clubs affiliés à
l’Union sportive des cheminots
de France (USCF), se sont
joints ceux d’autres entreprises.
Ils étaient 28 clubs à participer
à ces courses qui permettent
d’accueillir tous licenciés, sans
sélection de niveau. L’un des
buts est en effet de
«faire goû-
ter»
la compétition aux skieurs
loisir.
«En équipe, il y a une cer-
taine émulation qui nous permet
de passer les premières appré-
hensions. C’est vraiment une
autre pratique du ski qui nous
motive pour apprendre à nous
perfectionner»
témoignent plu-
sieurs skieurs cheminots.
«C’est aussi la joie de partager
sport, amitié et combativité»
sure Jean-Michel Toinet, de
l’équipe du Ski club des che-
minots savoyards (SCCS), clas-
derrière le Racing club
de France (vainqueur en
2010).
Patrick MONIN
Résultats
Racing club, 2
Stade français,
USCORG…
Ski en entreprise.
Un club cheminot sur
la 3
marche du podium
Photo DR
Liste des clubs de l’ACSCF
�
Contacts et renseignements ACSCF :
http://acscf.association.free.fr
�
Club sportif des cheminots de Paris
(CSCP), Yves Parola au 0662862949;
�
Association sportive des cheminots
de l’Ouest
(ASCO), Gwenaëlle Astorg
au 0626376298;
�
Union sportive des cheminots dijon-
nais
(USCD), Michel Berthot au
0380370476;
�
Union sportive cheminots Ouest
Rive-Gauche
(USCORG), Bruno Meu-
nier au 0144237617;
�
Toulouse cheminots Marengo sports
(TCMS), Jacques Deslias au
0561095682;
�
Bayonne association sportive che-
minots
(BASC), Michel Duboue au
0559520890;
�
Ski club des cheminots savoyards
(SCCS), Jean Michel Toinet au
0607734421;
�
Ski club Est
(SCE), Denis Leboullen-
ger au 0689164146;
�
Association sportive des skieurs
bourguignons
(ASSB), Édith Reynaud
au 0611045893.
Challenges
Le challenge de
karaté
Comité
Île-de-France
de l’USCF
se déroulera le
19mars
Paris, 15, rue Traversière, à
partir de 13h.
Contact: Hubert
Chérene au 0660934611.
Le
Comité Atlantique
l’USCF organise son
challenge
de volley-ball du 7 au 9avril
, au
CRJS de Salbris pour
sélectionner les joueuses et
joueurs qui disputeront le
challenge national du 18 au
21mai à Montdidier. Certains
auront même la possibilité de
participer au challenge
International de volley-ball qui
se déroulera du 2 au 9octobre
en Russie.
Contacts:
, Dominique
Langlois (0698455475);
, Jean-Pascal Meunier
(0608145754);
Nantes
, Joël
Taillandier (0609747513);
Tours
, Ludovic Josso
(0676634135);
Bordeaux
Laurent Lacoste
(0660219317); Toulouse,
Laurent Baud (0682062344).
Pour les féminines:
Ensemble
arc atlantique, Sophie Lahore
(0683225629).
Responsable Atlantique volley-
ball:
Jacques Debenay
(0613038323).
Le
Comité Sud-Est-
Méditerranée
de l’USCF
organise son
challenge de
pêche de compétition les 27 et
28mai
à Pont-Royal. Les
cheminots licenciés souhaitant
y participer doivent se faire
connaître avant le
avril
auprès du responsable de leur
région.
Clermont-Ferrand
, Thierry
Blandin (EMT Nevers) 554 362
et 0386367843;
Dijon
, Alain
Dorotte (Caténaires Les
Laumes) 538 163 et
0615852164;
Paris SE
, Cédric
Dubuisson (PSE Laroche
Migennes) 519 134
0603517351;
Montpellier
Florian Martinez (Infra)
0661453659.
Le ski en entreprise permet à tous,
clubs ou sportifs de tous niveaux,
de profiter d’une organisation
digne des grandes manifestations.
LES PETITES ANNONCES DE LA VIE DU RAIL MAGAZINE


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– 9 mars 2011
RENDEZ-VOUS
Festival de la maquette et
du modèle réduit à Bayonne
(Pyrénées-Atlantiques)
Organisée par la section modélisme des
Croisés de Saint-André, cette manifesta-
tion se déroulera le
samedi12
(de 10 à
19h) et
dimanche 13mars
(de 10 à
18h) à la Maison des associations. Entrée
, gratuit pour les moins de 18 ans.
Renseignements: 0559634234.
Bourse de trains miniatures
à Bron (Rhône)
Organisée par l’Association des modé-
listes lyonnais, cette manifestation se tien-
dra à l’Espace Albert-Camus le
dimanche
13mars
de 9 à 17h. Entrée à 3
, gratui-
te jusqu’à 14 ans.
Renseignements: www.amfl.fr
info@amfl.fr
Bourse toutes collections
à Séné (Morbihan)
Le Club Séné Rail Miniature organise le
dimanche 13mars
de 10 à 17h30, au
gymnase Le Derf, sa 6
bourse pour col-
lectionneurs de jouets anciens, trains,
maquettes, miniatures, poupées, figu-
rines… avec plus de 80 exposants.
Renseignements: 0297470688 ou
0686522845 ou par E-mail:
mgalban@wanadoo.fr
http://www.rail56.org
Salon de la carte postale et
des collections à Albi (Tarn)
Plus de 80 exposants de la région et du
grand sud proposeront des cartes postales
anciennes et modernes, des monnaies,
des timbres et lettres, des télécartes, des
véhicules miniatures…, le tout sans anti-
quité ou brocante. Cette manifestation est
organisée par les Collectionneurs albi-
geois, Salle de Pratgraussals, le
dimanche
20mars
. Sur ce même lieu se déroulera
le Salon Images et Humour avec des cari-
caturistes, humoristes, dessinateurs, pho-
tographes… Ouverture de 8h30 à 18h,
entrée gratuite.
Renseignements: 0684057542 ou
0563380791. www.albicollections.com
TRAINS SPÉCIAUX
Destination les Pyrénées
avec la CC 6570
L’Association pour la préservation de la
CC 6570 (APCC 6570) organise un voya-
ge à Lourdes
via
Toulouse et Tarbes les
23, 24 et 25avril
jour: Avignon – Carcassonne
avec
visite de la cité fortifiée (libre ou accompa-
gnée par un guide) l’après-midi. Soirée et
nuit à Carcassonne.
jour: aller-retour Carcassonne – Tou-
louse – Lourdes
(visites libres de la grotte
des apparitions ou de la basilique Notre-
Dame-du-Rosaire) avec des arrêts à Tou-
louse, Montréjeau et Tarbes.
jour: Carcassonne – Avignon
L’horaire de circulation assurera une cor-
respondance à Montpellier ou Nîmes avec
un TGV pour Paris.
Renseignements et tarifs: 0685819456.
Voyages avec la 241 P 17
(réservations ouvertes)
10avril, le Berry Vapeur Express
Le Creusot – Bourges avec arrêts à Étang,
Luzy, Nevers, Nérondes. Prix aller-retour
enfant 36
, adulte 60
19juin, le Citadelle Express
Le Creusot – Besançon ou Belfort aller-
retour. Au choix la visite de la Citadelle
de Besançon ou continuation du voyage
en train vapeur jusqu’à Belfort. Prix aller-
retour au départ du Creusot: 35
enfants, 58
adultes.
28août, le Savoie Express
Le Creusot – Aix-les-Bains aller-retour.
Au choix une croisière en bateau avec la
visite de l’abbaye de Hautecombe ou
Navig’Aix (rassemblement de canots
anciens avec animation toute l’après-
midi). Prix aller-retour au départ du
Creusot: 36
enfants, 59,50
adultes.
Aller-retour depuis Bourg-en-Bresse
enfant 30
, adultes 50
Pour ces trois voyages il y a la possibilité
d’effectuer un aller simple ou de partir
des gares intermédiaires.
Renseignements:
www.parcdescombes.com
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Tél. : 0385558003.
AGENDA
11, rue de Milan, 75009 Paris.
Tél.: 0149701200 – (SNCF) 30 85 73.
Fax: 0148743798.
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