La date butoir du 1er juillet avait été annoncée par la SNCF pour la fin de la circulation des quelques trains de nuit intérieurs qui subsistaient encore. Les appels du gouvernement à la reprise par des opérateurs privés étant restés vains, la situation est demeurée plus ou moins confuse. En définitive, plusieurs d’entre eux vont subsister sous un régime complexe, profitant à la clientèle de vacances vers les régions touristiques :
• 5705/5706 Paris-Austerlitz – Saint-Gervais/Bourg-Saint- Maurice, réguliers jusqu’à fin août puis supprimés ;
• 3731/3730 Paris-Austerlitz – Port Bou, tout l’été puis au-delà, avec la rame Latour-de-Carol ;
• 3751/3750 Paris-Austerlitz – Toulouse/Rodez, régulier l’été, seule subsistant au-delà la rame Rodez, prolongée Albi les nuits du vendredi au samedi, du dimanche au lundi au retour ;
• 5773/5774 Paris – Nice maintenus avec voiture-couchettes de 1re classe fournie par les RZD, jumelés avec rame Briançon ;
• 4055/4054 Paris – Irun via Tarbes, tout l’été, plus les vendredis au-delà à l’aller, dimanches au retour ;
• 4283/2-4382/3 Strasbourg – Dijon – Nice, tout l’été puis les vendredis et dimanches au-delà ; • 4250/4350 Strasbourg – Dijon – Port Bou supprimés ;
• 4251-4351 Luxembourg – Metz – Dijon – Nice et Port Bou, supprimés.
À l’application des horaires 2017 à la mi-décembre, la situation pourrait se clarifier avec de nouvelles éliminations.