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  • 141 E 669 et 141 TA 414 à Ussel

    Le 8 septembre 1967, en plein effort dans la rampe de 25 ‰, les 141 E 669 et 141 TA 414 quittent Ussel à 13 h 55 en tête du train express 2006 pour Paris. Elles sont photographiées au droit du vénérable poste B dans une belle composition restituant fidèlement l'atmosphère ferroviaire des années soixante.

  • Mallet 403

    dans un panache de vapeur généreux, la Mallet 403, dont la cheminée est recouverte d’une grille pare-escarbilles, une situation classique sur les CFD du Vivarais, quitte la gare du Cheylard le 9 octobre 1962 avec le train de marchandises pour Dunières. En arrièreplan, le long du BV, se dresse la charmante petite buvette de la gare.

  • l’omnibus 1584 pour Culmont-Chalindrey

    scène authentique du service public ferroviaire en milieu rural : en gare de Maâtz le 17 septembre 1966, l’omnibus 1584 pour Culmont-Chalindrey effectué par l’X 3715, croise le TOM 21589 pour Gray. Curieusement, la 140 C 363 a perdu, côté mécanicien, sa plaque d’immatriculation. L’autorail De Dietrich quant à lui est affecté au centre Metz-Sablon.

  • 230 G 364 dépôt de Montluçon

    sur le gril du dépôt de Montluçon le 7 septembre 1967, la 230 G 364 est préparée dans un concert de panaches pour assurer le train de marchandises vers Pionsat. La cabine montée sur sa traverse avant sert à l’agent chargé de surveiller les opérations de désherbage lorsque la machine est en charge du train désherbeur.

  • Sans titre-5

    cette vue du Vivarais, prise le 9 octobre 1962 sur la courbe en fer à cheval située entre Saint-Julien-Boutières et Saint-Agrève, évoque un réseau miniature. Cette scène champêtre est attachante avec une Mallet en tête d’un train de marchandises comportant en queue un fourgon à vigie des CFD

  • Flèche d’Or » Calais-Maritime - Paris,

    le 9 septembre 1966, le rapide 82 « Flèche d’Or » Calais-Maritime - Paris, comportant des voitures Pullman, arrive au sommet de la célèbre rampe de Caffiers, emmené par la 231 E 5. La propreté de la locomotive est à l’honneur de son équipe de conduite : le retrait des Pacific Chapelon est proche mais les roulants de Calais ont à coeur de perpétuer la tradition et soigneront leurs machines jusqu’à leur dernière journée de circulation !

Images de trains. Un Anglais sur les rails de France

28 septembre 2015
- -
Par : Hugh Ballantyne

Le tome XXV d’Images de trains, Un Anglais sur les rails de France, offre un regard sur la vapeur française toujours très active entre 1962 et 1967. En effet, lorsque Hugh Ballantyne décide de photographier ce mode de traction, en France, au 31 décembre 1962, près de 2 812 locomotives à vapeur sont en activité, contre 1 605 électriques et 793 à moteur thermique ! À l’époque, circulent encore de nombreuses séries des anciens réseaux, associées aux locomotives unifiées. Ainsi, au cours de trois voyages, il va rencontrer des Pacific, Mikado et Consolidation, tout comme l’antique Crampton 80 de la Cie de Paris à Strasbourg. À cette belle cavalerie s’ajoutera celle des chemins de fer secondaires.

En cet après-midi ensoleillé du 24 septembre 1966, dernier jour de la traction vapeur entre Paris et Le Havre, deux photographes passionnés se rencontrent au dépôt du Havre où ils sont venus saisir les dernières images des Pacific assurant ce service. Ils sympathisent… C’est ainsi que débuta, il y a presque 50 ans, la fidèle amitié m’unissant à Hugh et son épouse Toni. La locomotive à vapeur vivait ses dernières années sur les chemins de fer de nos deux pays respectifs. Dès lors, je fis de nombreuses visites en Angleterre avec Hugh, notamment pour un séjour mémorable au printemps 1968 où la traction vapeur était encore très active dans la région de Manchester avant de s’arrêter brutalement fin juin 1968. Hugh, qui avait déjà effectué deux séjours en France durant ses vacances, y était revenu une troisième fois en septembre 1967. En France, la disparition de la vapeur s’est effectuée de façon plus progressive, et ces séjours apportèrent une riche moisson de prises de vues. Né en 1934, passionné de chemin de fer dès son plus jeune âge, Hugh prit ses premières photos à la fin des années 1940, et ses dernières quelques semaines seulement avant sa disparition soudaine début 2013… Si la technique n’était pour lui qu’un moyen, il ne la négligeait pas pour autant, travaillant avec les meilleurs appareils, essentiellement au Leica. Fervent admirateur de la locomotive à vapeur, Hugh l’a non seulement abondamment immortalisée dans son pays natal, mais également littéralement traquée sur les cinq continents. Il a aussi beaucoup photographié les lignes secondaires, y compris les plus obscures.

Au fil des ans, il a réalisé plus de 150 000 prises de vue. Ses photos ont été largement publiées en Angleterre, donnant naissance à plus de 20 albums et illustrant très fréquemment les magazines spécialisés ou les publications des associations d’amateurs. Très engagé dans son action de mémoire et de transmission, Hugh a également présenté et commenté ses photos lors de nombreuses réunions dans les différentes associations auxquelles il participait activement, plus particulièrement la Railway Correspondence & Travel Society, dont il a été membre depuis 1950 et dont il fut pendant 25 ans le secrétaire du portfolio photographique, ou le Continental Railway Circle, dont il a créé et animé dès 1978 la section « Midlands ». Il a également soutenu très activement le développement des réseaux « préservés » tels que le Severn Valley Railway, le Great Central Railway, ou encore le Welshpool and LLanfair Light Railway auquel il était depuis sa jeunesse particulièrement attaché. En 2012 j’ai eu le plaisir de rendre visite à Hugh Ballantyne en compagnie de Didier Leroy. De cette rencontre naquit l’idée de publier les photographies françaises prises par Hugh lors de ses trois séjours de vacances en 1962, 1966 et 1967. Sur les quelques centaines de prises de vues réalisées, nous avons sélectionné celles figurant dans ce livre. Outre leurs qualités documentaires, elles nous offrent le regard humain et éclairé d’un photographe anglais sur les locomotives à vapeur des rails français de cette époque. Gérard CHAMBARD Paris, le 1er janvier 2015 (extrait de l’avant-propos)

Pour Commander « Un anglais sur les rails de France », cliquer sur sa couverture

Un anglais sur les rails



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